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*Le lendemain matin.*

Je me réveille doucement. Ensuite je lève les yeux vers Abdoul Hakim qui est couché près de moi. Il a le regard fixé sur moi.

Moi : as-salam aleykoum, qalbi (mon coeur).

Abdoul Hakim : wa-aleykoum salam habibti.

Moi : c'était la plus belle nuit que de toute ma vie. Dis-je doucement.

Abdoul Hakim : j'en suis heureux très heureux. Hier j'ai falli ne pas te reconnaître. Tu étais diablement belle. Dit-il en me caressant la main.

Je souris, très contente de son compliment.

Abdoul Hakim : lèves-toi, le petit déjeuner est déjà servi.

Je me lève en remontant le drap sur ma poitrine. Il me tend un plateau de croissant, jus, café au lait, cupcakes, gâteau, crêpes, bol de fruit et à côté des fleurs rose- blanches et deux boîtes fermées.

Moi : ohh amour, c'est.... c'est...

j'ai pas les mots, trop romantique.

Moi : merci beaucoup. Dis-je avant de sauter dans ces bras en lui fit un bisou sur les lèvres.

Abdoul Hakim : si c'est ça que je reçois quand je te fais ton petit déjeuner, alors je te ferai ton petit déjeuner chaque jour.

Moi : fais-le et tu seras très bien remercier.

Je commence à manger et lui donne aussi quelque bouchée.

Moi : hm, que contient ces deux boîtes. Dis-je intriguer.

Abdoul Hakim : hier j'étais sorti pour t'acheter des cadeaux, pour te faire une surprise, et à ma grande surprise, c'est moi qui a été surpris. Dit-il avec un sourire au coin.

Je mis mes deux mains sur mon visage.

Abdoul Hakim : ne sois pas timide. La timidité n'a plus sa place ici.

Il se lève et se mit derrière moi puis chuchote près de mon oreille.

Abdoul Hakim : prend l'écrin et ouvre-le.

Je le pris puis l'ouvre et y trouve une magnifique bague argenté avec des petits cristaux.

Waouh ! C'est sublime. Mes yeux se remplissent de larmes.
Je me retourne et mis ma main sur ma bouche.

Moi : c'est.... c'est vraiment magnifique.

Abdoul Hakim : ne me remercie pas. C'est à moi de te remercier de t'avoir préserver rien que pour moi amour.

Moi : je t'aime.

Il prit la bague et me l'insère sur mon doigt.

Abdoul Hakim : je t'aime aussi.

Je suis très heureuse. J'adore la bague, elle me va à merveille.

Abdoul Hakim : maintenant prend l'autre boîte et ouvre-le.

Moi : ah! Des chocolats.

J'en prend un et le mange rapidement.
Waouh quel délice ! Juste exquis.

Il me fit un bisou sur le front.

Abdoul Hakim : je te laisse déguster tes chocolats, je reviens. Je vais te faire couler un bain.

Il me rend dingue.

Je continue de manger en l'attendant et en contemplant ma magnifique bague.

Abdoul Hakim : tu peux venir prendre ton bain.

Je pousse le plateau pour essayer de me lever mais mes jambes sont lourdes et mon parti intime me brûle.

Moi : aïe.

Abdoul Hakim : qu'est-ce que tu as ? Dit-il inquiet.

Moi : je ne peux pas descendre. Dis-je en grimaçant.

Il vient près de moi et me soulève puis m'amène dans la salle de bain.

Moi : aïe Hakim. Dis-je en m'agrippant à lui et contracte mon corps, les larmes aux yeux.

Abdoul Hakim : désolé habibti, c'est un mal nécessaire, la douleur va bientôt partir. L'eau tiède va t'aider. Relâche toi.

Je me relâche, quelques minutes après puis commence à me sentir bien.

Moi : tu peux me laisser, je vais me débrouiller.

J'ai un peu honte d'être nue devant lui.

Abdoul Hakim : tu n'as pas à avoir honte, car j'ai vu tout ce qu'il y avait à voir. Laisse-moi te dire que dorénavant on prendra nos douches ensembles. En plus c'est une même un sounna. Ça va nous permettre d'économiser l'eau. Dit-il en me faisant un clin d'oeil.

Il prend le gel de douche et commence à me laver.

Moi : t'es pas sérieux Abdoul Hakim.

Abdoul Hakim : bien sûr que je le suis.

Moi : j'ai l'impression d'être un bébé.

Abdoul Hakim : c'est parce que maintenant t'es mon bébé.

Il descend en bas avec l'éponge.

Moi : HAKIM!


Je coupe ici.
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Satoush

Devenue la belle mère de ma meilleure amieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant