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~Dans la peau de Shouayb~

Maria : allons y.

*

Nous sommes arrivés à l'hôpital et attendons le médecin dans la salle d'attente.

Le problème entre Rachida et Hakim est vraiment grave et je ne sais pas comment aider mon ami.

Maria : y a t-il un problème?

Moi : non, pourquoi.

Maria : tu sembles être perdu dans tes pensées depuis tout à l'heure.

Moi : je pense à ce qui se passe entre Abdoul Hakim et Rachida.

Mari : oui c'est vrai, je suis vraiment désolé qu'ils se soient séparés.

Moi : quoi ? De quoi tu parles? Dis-je dérouté.

Maria : tu n'est pas au courant, ils ont divorcé.

Moi : mais... comment est-ce possible, ils s'aiment...

Maria : tu as raison mais malheureusement, ils ont mit un terme à leur relation et je pense que c'est à cause de Myriam.

Shouayb : moi aussi je pense la même chose. Mais le véritable problème est le manque de confiance dans leur relation et l'amour inconditionnel que Abdoul Hakim porte à sa fille qui en profite. Cela me désole de voir leur couple se brisé.

Maria : si ils sont vraiment fait pour être ensemble alors ils vont s'unir à nouveau.

Infirmière : Mr et madame Lumumba c'est à votre tour, le docteur vous attend. Dit-elle en nous interrompant.

Maryam baisse la tête gêner.

Ça sonne bien Maryam lumumba.

Conscience: tu as parfaitement raison. Mais penses-tu sérieusement à l'épouser ?

Je l'a connais très bien contrairement à Aby. Nous avons presque grandi ensemble, je sais qu'elle fera une excellente épouse.

Moi : très bien, merci.

Infirmière : je vous en prie.

Moi : allons-y. Tu ne trouves pas que ça sonne bien?

Elle me lance un regard montrant qu'elle n'a pas compris.

Moi : Maria Lumumba. Chuchotais-je.

Elle baisse la tête gênée.

*

Docteur : bonjour désolé pour l'attente, j'avais des choses à finaliser avec un patient.

Moi : il n'y a pas de souci docteur.

Je peux sentir la nervosité de Maria. Je voulu la toucher pour lui montrer mon soutien mais je ne peux pas elle m'est haram.

Conscience : Et pourtant tu l'as pris dans tes bras et pas qu'une fois.

C'est parce que elle en avait vraiment besoin.
En plus je n'ai pas réfléchi deux fois... je n'aimais pas la voir aussi mal.

Devenue la belle mère de ma meilleure amieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant