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~ Dans la peau de Rachi ~

Je suis sur le terrasse pour prendre l'air.
En repensant à ma vie avant que je ne rencontre Hakim, je remarque que c'était plus calme et paisible. J'étais heureuse dans mon coin, je n'avais aucun souci à me faire.
Toutefois maintenant tout a changé, il a suffit d'un seul regard et voilà que je suis tombé sous son charme et que je suis sur le point de perdre ma meilleure amie.
Quel destin fou ! N'est-ce pas?

Le vent me caresse le visage, cela me fait du bien.

Myriam : RACHIDA. Entendis-je derrière moi.

Je me retourne, c'est Myriam.

Moi : qu'est-ce qu'il y a Myriam ? Dis-je inquiète.

Elle arrive devant moi avec le visage un peu rouge, ses yeux lancent des éclairs.

Myriam : arrête de faire l'hypocrite un peu, sale menteuse, je n'aurais jamais imaginé que je connaîtrai un fille aussi vile que toi. Comme on dit si souvent, il faut se méfier de l'eau qui dort. Déclare t-elle en colère .

Je suis choquée, terriblement choqué. Ma meilleure amie me traite mauvaise personne.

Moi : Myriam...

Myriam : ne prononce pas mon nom dans ta bouche, sale traitresse.

Je suis confuse. Pourquoi m'insulte t-elle de cette manière?

Moi : Myriam ne m'insulte pas, je ne t'ai pas manqué de respect et je ne vois pas pour quelle raison tu es en colère contre moi. S'il s'agit de ce que je t'avais dit, je m'en excuse sincèrement. Dis-je calmement.

Myriam : oh, Arrête moi ta comédie je t'en supplie, ça suffit ! Maintenant je comprends pourquoi mon père refuse de me parler, c'est à cause de toi. Dit-elle en colère, en me pointant du doigt.

Moi : Myriam tu te fais des idées. Je n'ai rien avoir avec la tension qui règne entre vous deux.

Elle se retourne, sûrement pour se calmer.

Adéle : es-tu amoureux de mon père Rachida Ben Khalifa. Demande t-elle doucement.

Moi : quoi ? Je...euhh... Dis-je en Bégayant.

J'ouvris grand les yeux très surprise de sa question.

Myriam : s'il te plaît, dis-moi la vérité Rachi, regarde moi dans les yeux et jure moi que mon père ne t'intéresse pas. Dit-elle en plongeant ses yeux dans les miens.

Je baisse la tête, je ne pourrai pas mentir en la regardant droit dans les yeux, mais je ne veux pas la blesser. Elle ne va me pas comprendre .

Je relève la tête.

Moi : Myriam ton père est quelqu'un de merveilleux, tu as de la chance d'être sa fille. Dis-je avec les m larmes aux yeux.

Myriam: _

Moi : toute femme aimerai être avec lui.

Myriam : arrête de tourner autour du pot et réponds-moi juste.

Une larme coule sur ma joue, je n'ai pas pu les retenir.

Devenue la belle mère de ma meilleure amieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant