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Le lendemain.

~ Dans la peau de Rachi ~

Je me réveille très en forme sûrement, parce que je suis dans mon pays de rêve avec mon mari. Je regarde sur le côté, il n'est pas là, il doit être en train de prendre sa douche. Je me demande comment fait-il pour se réveiller aussi tôt surtout quand la nuit est courte.

Il sort de la salle de bain déjà habillé et prêt.

Abdoul Hakim : salam aleykoum habiba. Bien dormi.

Moi : wa-aleykoum salam mon amour. J'ai très, très bien dormi. Dis-je avec un grand sourire. 

Abdoul Hakim : je suis heureux de l'entendre.

Moi : et toi tu as bien dormi ?

Abdoul Hakim : hm non, pas trop. Dit-il en s'assoyant sur le lit.

Moi : ah bon pourquoi?

Abdoul Hakim : car ma magnifique femme n'arrêtais pas de ronfler.

Moi ronfler, mais je ne ronfle jamais.

Moi : moi ronfler désolé, mais tu te trompes, je ne ronfle jamais.

Abdoul Hakim : eh bien hier, j'ai entendu quelqu'un ronfler.

Moi : arrête de dire n'importe quoi, je n'ai pas ronfler dit plutôt que c'est toi que tu as entendu ronfler.

Abdoul Hakim : je ne crois pas, accepte le fait que tu es....

Je n'attend pas qu'il termine avant de lui balancer l'oreiller sur le visage.

Il fait une tête choquer. Il ne s'attendait pas à ça.

Moi : je suis pas un ronfleur.
Dis-je en me mettant debout sur le lit et porte mes mains sur ma mes hanches.

Abdoul Hakim :  attends tu vas voir.

Il se lève à son tour puis attrape un oreiller, je me mets à courir pour éviter qu'il se venge. Il me poursuit puis arrive à me coincer, il n'hésite pas à me frappe avec le coussin pour se venger.
Je contre attaque en lui balançant d'autre oreiller. Il est beaucoup trop fort, je n'ai plus de force pour continuer.

Moi : non, non arrête. Dis-je avant de Pouffer de rire.

Je tombe à quatre pattes et essaye d'attraper un autre coussin. Mais je ne pouvais me concentrer à cause de mes fous de rire, je n'arrive plus à arrêter.

Moi : c'est bon je m'avoue vaincu. Dis-je en riant et en attrapant mon ventre car elle me faisait mal à force de rire.

Abdoul Hakim : tu as de la chance. Dit-il avant de se coucher parterre près de moi.

Je suis heureuse.

Abdoul Hakim : alors madame n'a pas de force.

Je lui prends la main.

Moi : si j'en ai, c'est juste que je ne pouvais pas me concentrer.

Devenue la belle mère de ma meilleure amieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant