Devenue la belle mère de ma meilleure amie

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Après une heure elle finit par s'endormir, elle est magnifique quand elle dort.
Je touche son front et remarque que la fièvre commence à tomber. Je déboutonne ma chemise pour être a l'aise et m'endormi aussi sans m'en rendre compte.

*Le lendemain*

   ~Dans la peau de Rachi ~

Je bouge et senti un corps près de moi, je pris peur, qui est en train de m'enlacer. J'essaie de me détacher quand la personne resserre l'étreinte.
Qu'est-ce que je fais ?
Je tourne la tête pour essayer de voir qui c'est. Oh mon Dieu, comment a t-il atterri sur mon lit?.

Moi : Abdoul Hakim. Dis je en le réveillant

Il commence à ouvrir petit à petit ses yeux comme un enfant. Puis frotte ses yeux. Il est trop mignon et ses cheveux qui tombe sur son visage lui donne un air mignon et trop sexy.

Abdoul Hakim : sabah alkhayr ( bonjour). Dit il avec une voix rauque.

Moi : bonjour à toi aussi.

Abdoul Hakim : désolé, je me suis assoupit en m'occupant de toi sans m'en rendre compte.

Moi : comment?

Abdoul Hakim : tu ne te rappelles pas d'hier?

Moi : non.

Il se détache de moi et se relève.

Je sentis un vide.

Moi : non!

Abdoul Hakim : quoi ?

Moi : non, rien.

Je ne veux pas que tu t'éloignes.

Abdoul Hakim : hier, tu as eu de la fièvre. Alors j'ai mis une serviette mouillée sur toi pour baisser la température.

Je refais mon voile, après avoir constaté que mon voile c'est un peu détacher.

Abdoul Hakim : il fallait que je le fasse. pour faire baisser la fièvre Rachi.

Je comprends mieux, même si ça me dérange un peu.

Moi : hm, merci beaucoup, c'était gentil de ta part. Mais quelqu'un d'autre pouvait rester avec moi.

Il boutonne sa chemise, on dirait que chaque geste qu'il fait me charme à nouveau.
Je baisse la tête.

Abdoul Hakim : c'est toi qui me l'a demandé Rachi.

Moi : je ne m'en rappelle pas.

Ça ne devrait plus se reproduire. J'imagine même pas si Myriam nous avait surpris. qu'est-ce que nous lui aurions dit.

Abdoul Hakim : tu te sentais mal. Dit il

Moi : alors devrais-je comprendre par là que si une femme se sentait mal devant toi tu vas l'enlacer et le dorloter comme tu l'as fait avec moi.

Il touche ses cheveux pour les arranger et souffla.

Abdoul Hakim : écoute Rachi tu as raison j'aurais pas dû, tu as parfaitement raison. ne t'inquiète pas je ne referai plus cette erreur. Dit il lasser.