Where is the love

*38*

Sullivan

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Ses lèvres sont exquises et d'un pur délice. Un bonheur et une sensation inexplicable m'envahît et se répand dans chaque pores de ma peau. J'ai embrassé pas mal de filles dans ma vie et le nombre n'est pas à mon avantage. Mais ce baiser là avec Amalya. C'était tout autre chose. C'était divin, presque irréel tant j'ai attendu ce moment. Elle ne s'est pas entièrement donné à moi ce qui reste compréhensible, mais ce baiser signifie énormément pour nous deux.

Ce baisse représente l'espoir d'un nous.

Elle me donne ma chance et cette nouvelle me rend plus heureux que mille yards remportés sur un terrain de foot. Après ce moment magique elle s'éloigne de moi mais je la maintiens fermement par la nuque afin que nos front restent joints. Je n'arrive plus à me détacher d'elle, elle agit comme une drogue sur moi c'est effrayant.

- Elles sont comme je les imaginais. Souffle-je après m'être remis de mes émotions. Délicieuses.

Amalya sourit gênée en se mordant la lèvre du bas ce qui sans le savoir me donne d'une part à nouveau envie de l'embrasser et d'une autre d'approfondir ce baiser vers une suite bien moins catholique.

Je ne sais pas comment je fais pour contenir mes ardeurs mais je sais que face à elle je ne tiendrais pas longtemps. Ce bout de femme m'attire beaucoup trop, à ses côtés je ne suis plus rationnel et je deviens uniquement le maître de mes désirs et de ma passion.

Depuis quand je ressens des sentiments aussi fort envers elle ?

Depuis bien longtemps ducon mais tu te voilais simplement la face.

- J'ai encore envie de t'embrasser jusqu'à ne plus pouvoir respirer. Souffle-je en m'éloignant d'elle pour de bon. Mais je respecte ta décision alors on va y aller step by step. Un baiser par jour c'est assez correct non ?

Elle m'offre un léger rire timide. Chaque sourire sourire et rire qu'elle m'accorde depuis ma fameuse « déclaration » me donne envie de la sauter sur place. Enfin plutôt de lui faire l'amour sur place et puis après de la baiser jusqu'à ce qu'elle ne puisse plus marcher correctement.

Mais ça c'est encore une autre histoire, putain il faut vraiment que je me canalise on dirait un adolescent en rut.

- Un baiser par jour. Confirme t-elle.

Je lui vole rapidement un autre baiser furtif et elle tape sur mon bras en réaction.

- Qu'est-ce qu'on vient de conclure Saint James ? Sourit-elle surprise.

- On a dit un baiser mais ça c'était un bisou donc ça ne compte pas. Il n'y avait pas la langue, ta main sur ma mâchoire, tes gémissements et tout le tralala qui signifie un vrai baiser.