- " Tu me dis qu'il est partout mais je ne l'ai jamais reçu, jamais vu, jamais connu..."
- " Alors laisse moi te le montrer. Laisse moi t'aimer et apprendre à aimer."
Where is the love ?
Il est dit que l'Amour est partout, tout autour de nous mais p...
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Et il n'avait pas mentit.
Après ses mots. Sullivan embrasse à nouveau mes seins mais cette fois-ci il ne s'y attarde pas. Il continue sa glissée jusqu'à mon nombril qu'il parsème de baisers plaisants. Puis il retire d'une lenteur exagérée ma culotte. Il apporte cette dernière à ses narines et l'hume pleinement. Cette action a un effet dévastateur sur le feu qui bout en moi depuis plusieurs minutes. Je sens ma féminité mouiller davantage et je suis deux fois plus excitée.
- Je ne me lasserais jamais de ton odeur. Avoue t-il en mettant mon tanga derrière la poche droite de son jean.
J'écarte les cuisses lui offrant une vue sans aucune retenue.
- Bloody mary.
Il descend du lit et d'un geste contrôlé tire sur mes jambes afin de me ramener à lui. Sa bouche embrasse directement l'intérieur de mes cuisses et mes gémissements remplissent de sitôt la pièce. Lentement il s'approche de ma vulve et je retiens presque ma respiration.
- Accroche toi. Me prévient-il sur un ton sérieux.
Je m'exécute et agrippe le plus fermement possible les draps. Mais lorsque sa bouche se pose sur mon clitoris, mes sens me lâchent et la raison quitte peu à peu mon esprit.
C'est divin.
Sullivan ne s'arrête pas en si bon chemin, il tient fermement mes cuisses afin que je cesse de me mouvoir et lèche à présent avec frénésie mon petit organe rose.
Les surnoms ont laissé place aux gémissements. Je ne contrôle plus rien. Mon corps entier est électrifié par cette sensation exquise. C'est tellement bon !
Sullivan remonte sa main sur ma poitrine et pétrit mon sein sans ralentir la cadence. Ma tête bascule en arrière et je n'arrive même plus à respirer correctement.
Jamais, jamais je n'avais autant pris de plaisir.
- Continue. L'incitais-je.
Il me pénètre ensuite avec un doigt et je vois presque des étoiles miroiter autour de moi. Son doigt effectue des vas et vient profond dans mon vagin et sa langue redouble d'effort sur ma zone érogène.
- Oui ici ! M'exclamais-je éprise par le désir, ne me reconnaissant plus. C'est tellement bon !
Sullivan insère deux doigts et je ne suis plus en mesure de dire quoi que ce soit. Les fourmillements s'empare de moi jusqu'à mon dernier petit orteil. La passion, le plaisir, le désir tout gronde en moi et me fait ressentir des sensations encore jamais connues.
Je lâche les draps afin d'attraper ses cheveux et il laisse échapper un grognement lorsque je tire sur ses derniers.