- " Tu me dis qu'il est partout mais je ne l'ai jamais reçu, jamais vu, jamais connu..."
- " Alors laisse moi te le montrer. Laisse moi t'aimer et apprendre à aimer."
Where is the love ?
Il est dit que l'Amour est partout, tout autour de nous mais p...
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- Tu te fiches de moi Sullivan Jakes Saint James ?
Pour réponse à sa phrase je souris d'un air fier et elle me dévisage de tout mon long comme il n'est pas permis.
- Et puis tu oses me parler de confiance. Crache t-elle en me toisant.
- Ton côté princesse m'avait manqué.
- Ne me parle pas encore comme si je t'avais pardonné.
Je souris à nouveau et prend sa main de force, elle me résiste deux, trois secondes histoire de faire sa Amalya puis elle lâche prise et ressert mon étreinte. Un long frisson prend place dans chacun de mes pores, son simple contact éveille mes sens et autre chose plus bas d'ailleurs, mais c'est c'est encore autre chose.
- Ne te fie pas aux apparences et laisse tes aprioris à la poubelle !
Elle grimace légèrement mais me suis dans le restaurant. Amalya m'avait donné sa condition « un restaurant où l'on vend du caviar », mais ce genre d'endroit ne me correspond absolument pas. Et là je veux simplement être transparent et lui faire découvrir qui je suis et ce genre d'endroit n'est pas moi.
- Ne me dit pas qu'ils mangent à la main ici en plus...
- Tu peux au moins faire semblant ?
- Non.
- Bonsoir, bonsoir les jeunes !
Je réponds chaleureusement tandis qu'Amalya sur la réserve se contente d'une brève salutation. Le gérant du restaurant nous emmène à une table plus ou moins éloigné du reste. Mais le restaurant restait une chaîne familiale et tout ce qui concernait le service ou la nourriture n'avait rien d'un restaurant trois étoiles. Pourtant il est chaleureux et à la bonne franquette, on peut y parler fort, rire fort et être soi même sans se soucier du regard des autres, sans se contrôler, sans être épier dans nos moindres faits et gestes.
Je voulais que ce restaurant soit un endroit où Amalya pourrai se lâcher : loin de sa zone de confort et de son « monde », parce qu'encore une fois je veux qu'elle découvre le mien.
- On ne s'entend même pas penser ici. Grimace t-elle pour la énième fois depuis que nous sommes entrés.
- Juste relax et détends toi Amalya.
- Je n'ai pas retrouvé le peu de confiance que j'avais en toi, donc ne me demande pas de me détendre s'il te plaît.
Son regard : des éclairs. Je prends le pique et ne surenchérit pas, de toute façon rentrer dans le conflit ce n'est pas la bonne tactique avec elle parce qu'elle va simplement se braquer et je pourrais dire adieu à mes tentatives désespérés -putain mais quel mec je suis devenu ?-
