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Sullivan

Sullivan

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Je n'oublierais jamais la nuit dernière. Notre première nuit à Paris et surtout notre première fois.

Vu comment la soirée avait débuté la suite avait été logique. Après avoir trainassé au quartier latin, mangé une crêpe et pris un léger coup de vent sur les quais de notre dame, nous sommes rentrés.

Et la nuit n'a pas été de tout repos...

[...]

- Ah mais tu est complètement malade ! Hurle t-elle à moitié morte de rire face à son collant que je viens de déchirer.

- Complètement oui et j'aimerais bien que tu me soignes.

Elle rit davantage.

- Tu es fou Saint James ! Fou à lier et je ne le répèterais pas assez.

Je fonce sur ses lèvres et l'embrasse avidement, comme une nécessité, un besoin insatiable. J'en profite également pour retirer mon pull ainsi que mon pantalon.

- Comment cela se fait-il que ton corps soit toujours aussi brûlant ?

- Aucune idée. Dis-je en la portant jusqu'au lit. Fenêtre ouverte ou fermées ?

- Fer-

- Ouvertes. Conclus-je en l'embrassant à nouveau.

Amalya fond sous mon baiser et passe ses doigts dans mes cheveux qu'elle tire fortement me faisant grogner.

Je me sépare de ses lèvres enflées et parsème son coup de baisers, n'hésitant pas à mordre sa chair la faisant frissonner de tout son long. Je finis pars m'attaquer à sa poitrine qui me fascine tant puis je dégrafe d'une main habile son soutien gorge et libère ses seins face à moi.

- Époustouflante. Tu es magnifique mon coeur.

Amalya sûrement morte de gêne n'ose pas me regarder dans les yeux mais je compte bien remédier à cela. Je pince son téton sans crier gare la faisant ouvrir les yeux de surprise. Son regard rencontre enfin le mien et je souris.

- Regarde moi Amy. Dans les yeux.

Elle hoche difficilement de la tête tandis que ma langue remplace aussitôt mes doigts. Je mordille, suçote et lèche ses tétons comme si ma vie en dépendait.

Je sens mon excitation grimper en flèche et ma queue durcir comme du béton. Je dépose une pluie de baisers sur son ventre puis le bas de son ventre avant de prendre le temps d'admirer son dernier sous vêtements, soit sa petite culotte violette en dentelle, culotte qui d'ailleurs est accordée à son soutien.

Comment me contenir ? Elle est tout simplement parfaite.

- Je sens que j'ai envie d'aller beaucoup plus loin que d'habitude alors si tu n'es pas encore prête Amy ce que je respecte, arrête moi maintenant, parce que sinon je vais perdre la tête.

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