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Amalya

Amalya

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Je suis tout simplement dégoûtée. Le comportement de Sullivan m'a plus repoussé qu'autre chose. Tabasser avec violence Logan gratuitement qui ne lui as rien fait jusqu'à casser son nez ?

Ce n'est pas le Sullivan que j'ai rencontré et côtoyé. C'était juste un animal...

- Qui était cet homme Logan !? Donne moi tout de suite son identité que je le signale à la police et bien plus encore ! S'énerve Gregory une fois sortis de l'hôpital, après que de brefs premiers soins aient été endigués à Logan par ma mère.

- Su-

- Nous ne le connaissons pas, n'est-ce pas Logan ? Je le coupe rapidement en lui partageant un regard lourd de sens.

- Pourtant cet homme avait l'air de te connaître Lya. Rajoute Rachel en fronçant légèrement des sourcils.

- Ce n'est qu'une impression.

- Tant mieux car il faut absolument t'éloigner de ce genre d'énergumènes ma chérie. Les hommes violents comme ceux-là n'apportent rien de bon, mis à part de la souffrance et du désespoir.

Je me pince les lèvres face aux paroles de ma mère. J'aurais aimé lui dire que Sullivan est l'homme que je côtoie actuellement, l'homme qui fait continuellement battre mon coeur, l'homme qui m'inspire et me pousse à être la meilleure version de moi même. Mais comment lui affirmer tout cela fièrement après ce qu'il vient de se passer ?

Actuellement j'ai juste honte de son comportement et puis avec la scène qu'elle vient d'assister ma mère ne comprendra jamais, elle ne cherchera même pas à comprendre d'ailleurs.

La question n'est pas de savoir si Logan méritait ces coups ou non car personne ne mérite de se faire casser le nez. Je suis foncièrement contre toute forme de violence et j'ai horreur des coups gratuits.

Si Garry n'était pas intervenu Logan aurait sûrement finit en charpie sous les coups incessants de Sullivan. Une haine terrifiante se dégageait de lui à ce moment, et encore une fois je ne l'ai pas reconnu.

[...]

Garry nous dépose enfin à domicile. Ma mère s'empresse de quitter la voiture, je soupire longuement en partageant un regard avec mon chauffeur et ami.

- Vous savez mademoiselle, ce jeune homme est venu complètement mort d'inquiétude jusqu'ici près à escalader la grille afin de vérifier si vous allez bien. Puis dès qu'il a su où vous étiez il est partit en trombe à l'hôpital pour être à vos côtés. Alors ne le condamnez pas trop rapidement.

- Bonne soirée Garry. Dis-je en lui partageant un faux sourire.

Je quitte la voiture à mon tour le cerveau en feu. A peine ai-je fait un pas chez moi que Beethoven me saute dessus. Je m'abaisse et la caresse avec toute la tendresse du monde tandis qu'elle me lèche vivement.

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