Le four sonnait pour indiquer la fin de la cuisson de la pizza. Maya se précipita en bas pour éteindre le four et ne pas agacer son oncle avec les bips incessants. Elle enfila son gant de cuisine et sortit la pizza. Maya était septique sur le résultat de celle-ci. Elle commençait à paniquer sur ce que son oncle allait en penser. Elle coupa une part en la mettant dans une assiette et la servit à son oncle. Son cœur battait de plus en plus vite et ses pulsions traversaient tout le corps de Maya qui était en stress total. Il prit une bouchée et la mâcha. Maya attendait dans le calme le verdict, les mains jointes et la tête baissée vers le sol. Elle se tenait debout à côté du fauteuil en cuir, qui d'un coup fit le bruit strident. Il s'avança vers elle et il fit tomber quelques bouteilles vides de Whisky.
Rapidement, il plaça sa main sous la gorge de sa nièce et il l'a plaqua violemment contre le mur. Le choc fit cligner des yeux Maya, ses dents commençaient à apparaître et ses pupilles s'étaient resserrées. Il commença à la baiser dans le cou et sur la poitrine en ayant pris le temps de lui relever son t-shirt. Une main sur son cou, l'autre se baladant sur la poitrine de sa nièce. Ses larmes commençaient à couler et ses forces l'abandonnaient."Arrêtez... Je vous en supplie... Dit-elle en pleurant."
Il continuait en soufflant comme un porc. Il descendait petit à petit jusqu'à arriver au niveau de son entrejambe. Elle resserra ses jambes et alors qu'il commençait à déboutonner le pantalon de sa nièce, la sonnette de la porte d'entrée retentit. L'oncle cessa tout mouvement et regarda en direction de la porte. Il se retourna et murmura d'une voix rocailleuse à sa nièce qui pleurait en silence :
"Ouvre ta gueule et je t'éclate."
Il se dirigea d'un pas agressif vers la porte qu'il ouvrit de façon suspecte. Il y avait un homme et une femme souriants derrière celle-ci, un panier à la main.
"Bonjour Monsieur ! Nous sommes les nouveaux propriétaires de la maison bleue ciel un peu plus loin. Nous vous apportons des muffins pour l'occasion.
- Ouais, bienvenue."
L'oncle arracha le panier de muffins des mains de la femme. On voyait dans son regard qu'elle avait envie de gifler l'homme, mais se retenu.
"Bonne soirée, Dit-il en claquant la porte."
Il se retourna vers Maya qui n'avait pas bougé, par crainte de se faire encore plus violenter. Il posa les muffins sur la table à manger pour se diriger à nouveau vers sa nièce afin de continuer ce qu'il avait entrepris, abaissant brutalement son pantalon pour venir caresser sa zone sensible.
Les préliminaires finis, il la bouscula violemment sur l'accoudoir de son fauteuil en cuir, le ventre dessus et les fesses en arrière et il la pénétra d'un coup de rein agressif, comme chaque soirs depuis qu'elle habitait avec lui. Elle hurlait de douleur et le supplia d'arrêter mais il lui donnait des coups plus violents pour la faire taire, déposant par la même occasion sa main contre la bouche de sa nièce pour lui retenir de crier. Seuls les gémissements de plaisir du porc qui la chevauchait se faisaient entendre.
Puis il finit d'un dernier gémissement grave et plus long que tous les autres. Le liquide chaud de son oncle était en elle. Elle pleurait, elle voulait que tout cela cesse. Il partit dans sa chambre pour aller ronfler jusqu'à l'aube sans même se retourner. Maya était seule au salon, seul son t-shirt recouvrait son corps criblé de bleus. Elle n'avait pas bougé. Des pensées noires l'envahirent de nouveau : elle se sentait souillée, sale, pathétique, honteuse, impure, dégoûtante. Tout ce qui lui arrivait était de sa faute. A elle et à elle seule. Elle méritait tout cela, il le lui faisait bien comprendre. Ses larmes coulaient le long de ses joues sans discontinuer, traçant des sillons sur son visage rongé par les émotions. Elle renifla bruyamment, resserrant ses vêtements contre elle qui vinrent essuyer les larmes sur ses joues. Elle éteignit les lumières du salon et partit vers les escaliers avec difficulté pour aller dans sa chambre. Elle avait mal de partout : il l'avait encore frappé. Elle entra dans sa chambre et ferma délicatement derrière elle. Elle posa les vêtements qu'elle sur sa chaise de bureau, et elle retira son haut en se regardant encore une fois dans le miroir. Ses joues et ses yeux étaient rouges, irritées et bouffies par les larmes qui coulaient chaque nuits. Elle enfila sa chemise de nuit et se mit sous sa couette, en pensant :
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Nuits Pourpres
Детектив / ТриллерDans la petite ville de Sunset Valley, Maine, quatre adolescents qui n'ont apparemment rien en commun découvrent après de sombres incidents auxquels ils sont intimement liés qu'ils se transforment, une fois la nuit venue, en thérianthropes sauvages...