Quand la vérité éclate

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Okay les gars, le Bac est passé, et l'histoire touche bientôt à sa fin. Ouvrez vos écoutilles : il reste quatre chapitres sans compte celui-ci et l'épilogue... La bonne nouvelle c'est qu'il ne m'en reste que 3 et demi à écrire, et que j'ai pas mal d'heures de trajets en ce début d'été... Donc je vous garantis que l'histoire sera terminée avant la fin juillet. Je suis désolée, cette histoire a vraiment été un échec au niveau de la publication et de la logique de création, mais j'en parlerais à la fin... xD
Je vous poste la suite samedi lorsque je serai arrivée à destination :)

Bref, merci de me lire, et  bonne lecture ! (C'est un petit chapitre comparé aux autres, mais comme l'histoire touche à sa fin... Eh bien il fallait que je coupe comme ça x))

Et un petit résumé pour se retrouver :

Après les funérailles de Dumbledore, les jeunes étudiants de Poudlard suggèrent l'idée que Voldemort pourrait vouloir récupérer l'école de sorcellerie pour se faire une "fabrique à mangemorts".  De son côté, Lily et son groupe partent à la recherche de Slughorn pour lui demander des conseils sur les horcruxes. Cependant, ils le retrouvent mort. Peut après, les troupes de Voldemort qui arrivent sur les lieux. Le groupe arrive à s'échapper de peu. Lorsqu'ils reviennent au château, Lily apprends que les Weasley ainsi qu'Hermione quittent leurs rangs pour se mettre en sécurité. Il y a une dispute entre Lily et Molly.

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PDV Lily :

Durant deux semaines, ils n'eurent aucunes nouvelles de personnes. Ni de Voldemort, ni de leurs amis. La vie au château était devenue triste. Aucune magie n'agitait les murs de l'école. Presque aucune animation n'animait ses grandes salles, vides et silencieuses.

Seulement, un matin en mi-janvier, Edwin arriva l'air sombre sur un balai qu'il avait emprunté à Madame Bibine quelques jours plus tôt. Dans sa main droite, il y avait un journal enroulé sur lui-même. Si Lily ne commençait pas à bien le connaître, il était probable qu'elle n'aurait pas remarqué la manière dont il serré la mâchoire, signe de fureur. Ses yeux restaient neutres, mais le reste de son corps ne pouvait rester inexpressif. Lorsqu'il entra dans la grande salle, Lily se leva immédiatement, affolée par ce qu'elle reconnaissait en cet homme comme une immense inquiétude et une fureur dévorante. Elle s'empressa de le retrouver à mi-chemin, et sans un mot lui arracha le journal des mains. Le professeur McGonagall s'était également levé, et lisait par-dessus l'épaule de Lily. Celle-ci ne s'attarda pas trop sur le titre de La Gazette, et lu à haute voix :

"En ce jour à marqué d'une pierre blanche, Celui-Dont-On-Ne-Doit-Prononcer-Le-Nom a commis l'irréparable. Amies sorcières, amis sorciers, Celui-Dont-On-Ne-Doit-Prononcer-Le-Nom a révélé ce matin l'existence de nous-même aux moldus via le Premier ministre anglais. La nouvelle circule de partout dans le monde. Nous ne sommes plus en sécurité."

Lily s'arrêta, le coeur sur les lèvres. Elle aurait voulu avoir la force de crier, de hurler des insultes envers cet idiot qui faisait honte à leur race, mais rien ne semblait vouloir sortir. Peut-être était-ce parce qu'elle était bien trop choquée pour dire quoi que ce soit ? Ou bien, se doutait-elle intérieurement que cela allait arriver un jour ou l'autre ?

— Putain, souffla Draco après quelques minutes de silence.

— Surveille ton langage mon enfant, le sermonna Narcissa.

— Maman ! Ce n'est clairement pas le moment, soupira le Serpentard.

La sorcière dont la chevelure blonde se reflétait avec les rayons de soleil se contenta d'hausser les épaules.

La fuite des Potter et l'Ordre du PhoenixOù les histoires vivent. Découvrez maintenant