Un dernier sourire, puis le vide. C'est tout ce qu'il reste de son amour, ce vide qui va durer 16 ans.
Comment Lan Zhan a-t-il supporté la disparition de Wei Ying ? Comment a-t-il trouvé la force de continuer d'avancer ? Pourquoi n'a-t-il jamais ces...
J'en aurais eu du mal avec celui-là ! Tout cela à cause d'un passage, d'à peine 10 min dans le drama, que je n'aimes pas !!!!!
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Sur la demande de Frère Jin GuangYao nous conduisit à l'intérieur de la chambre des Parfums, ses appartements personnels , puis nous introduisit dans la chambre secrète. Qin Su, l'épouse de Jin GuangYao s'y trouvait. Elle était debout devant un râtelier d'armes. Wei Ying essaya d'attirer son attention, mais celle-ci resta immobile les yeux fermés. Il se dirigea ensuite vers une étagère munie de rideaux. Quand il écarta le voile, seule une dague était visible. Sur la demande de Frère, Jin GuangYao expliqua que c'était une arme très rare.
En m'approchant , je réussis à intercepter le regard qu'il lança à Wei Ying. Il devait soupçonner que c'était lui qui s'était introduit dans la pièce. Mais se doutait-il de son identité . Wei Ying n'avait pas eu le temps de me raconter en détail ce qu'il c'était passé. Mais ce regard qu'ils échangèrent en disait long.
Il prit la dague et expliqua qu'elle avait appartenu à Wen Ruohan, qu'elle regorgeait d'énergie démoniaque et que c'était la raison pour laquelle il la gardait scellé derrière un rideau muni de talismans. Cette dague avait ensuite appartenu à Wen Qing . Il la rengaina. C'est à ce moment là que Qin Su semblant sortir de sa léthargie s'empara de la dague et se la planta dans le ventre.
Jin GuangYao se précipita vers elle.
Frère alla vérifier les fonctions vitales de Qin Su. A son expression , je compris qu'il était trop tard.
Je n'arrivais pas à savoir si cette mort avait été orchestrée ou si Qin Su s'était soustraite au contrôle de son époux pour se donner la mort.
Celui-ci avait l'air abattu. Il demanda à frère ce qu'il se passait et pourquoi nous avions voulu qu'il nous montre sa pièce secrète.
Jiang Cheng et HuaiSang arrivèrent à ce moment-là.
J'appréhendais la réaction de Jiang Cheng. Qu'allait-il faire ou dire ?
Frère prit la décision de raconter ce qui nous avait mené ici, l'épée du manoir Mô, la ville maudite de Yi. La découverte d'un corps démembré. Quand Frère eut fini de raconter notre enquête, il révéla que la véritable apparence de l'esprit de l'épée était celle de Baxia.
HuaiSang eut l'air surpris et ébahis.
Étrange, il ne semblait pas être au courant que nous avions retrouvé un corps que nous supposions être celui de son frère ! Je lui avais pourtant fait parvenir un message ? Était-il possible qu'il ne l'ai pas reçu ? Que celui-ci ait été intercepté ? Toujours est-il que l'émotion fut si forte qu'il en perdit connaissance.
Hypocritement Jin GuangYao s'insurgeait contre le « monstre » qui avait osé démembrer leur « frère ».
