85/Un sacrifice crucial

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C'était le grand jour. Il faisait encore un peu tôt et je savais que je n'avais plus de temps à perdre. Je fini de me préparer et je sors ensuite de ma chambre sans oublier mes clés de voiture. Je souris pour moi-même en sachant que, pour très bientôt, ma fille va venir vivre ici avec nous ainsi que ma femme adorée. J'ai prévenu mes parents et ils ont été choqué au début de savoir qu'ils ont une petite-fille, mais ils l'ont bien prit et ont même hâte de la rencontrer.

Je vais les confier Himawari et Boruto le temps que la police s'occupera de Orochimaru.

Soudain, je m'arrête car j'ai senti une drôle d'odeur à l'instant. Je fronce des sourcils en même temps que je renifle cette étrange odeur. Je ne peux pas dire exactement ce que c'est, mais ça ne sentait pas vraiment mauvais.

Bon, je n'ai pas le temps de m'attarder là-dessus.

Je descends rapidement les escaliers et me dirige ensuite en direction vers les portes qui étaient fermées étrangement eux qui sont pourtant toujours ouvertes.

-Naruto.

Je m'arrête et me retourne vers la personne qui était ma mère accompagnée de mon père.

-Tu y vas ?

-Oui. Boruto dort dans sa chambre ?

Mes parents ne me répondent pas et je devine clairement qu'il était sorti. Je soupire. C'était bien son genre et je serai bien curieux de savoir où il est maintenant.

Je ne dois pas m'inquiéter, il va sans doute rentrer. Et puis, je l'appellerai quand j'irai chercher Himawari et Hinata.

Je reprends ma marche vers les portes tout en disant à mes parents :

-Ne quittez surtout pas la maison. Je serai bientôt de retour avec les enfants.

Je pose mes mains sur les poignets et commence à les ouvrir. En même temps que je fais cette action, mon père me demande :

-Si Boruto revient, tu veux qu'on t'appelle de suite ?

-Oui, ce serait rassurant.

J'ai ouvert les portes et je m'attendais pas à ce que j'allais rencontrer là, juste sous mes yeux. Même après toutes ces années et malgré mon amnésie, je n'ai jamais pu oublier le fameux inspecteur, Ibiki Morino. J'étais choqué de le voir ici, chez moi, avec quatre hommes vêtue de leur uniforme de police.

Je ne comprends pas... Qu'est-ce qu'ils font là ?

Ibiki était sur le point de frapper aux portes, je suppose. Quand son regard croise le mien, il me salue avec un de ses célèbres sourires confiant qui me donnait l'impression qui disait "comme on se retrouve". Il n'a pas changé. J'étais plus curieux de savoir ce qu'il faisait chez moi et je pensais que c'était pour Orochimaru. Ibiki brise ce lourd silence :

-Bien le bonjour à vous, Uzumaki Naruto. Je suis désolé de vous déranger, mais il semble qu'il y a eu un cas grave chez vous.

Je hausse un sourcil, confus. Mes parents arrivent à leur tour, tout aussi inquiets que moi. Ibiki tend soudainement une feuille vers nous et nous dit plus sérieusement :

-Nous avons eu la procuration de pouvoir rentrer chez vous.

-Pouvons-nous savoir la raison ? Demande mon père.

CONDAMNÉE : TOME FINALOù les histoires vivent. Découvrez maintenant