84/On s'est toujours serrées les coudes

136 12 0
                                    

Orochimaru explorait avec un grand sourire les dizaine de paquets brun où l'intérieur chacun se trouvait un kilo de poudre blanche. Son sourire grandit avec férocité et il ricane pour lui-même au beau milieu de la salle sombre. Seulement une lumière provenait de la porte grande ouverte derrière lui. L'homme aux cheveux noirs lâche le grand sac qu'il tenait dans sa main, près de ces paquets. Il compte les ranger dans ce sac. Quand l'homme âgé s'est accroupie, l'odeur suave emplit ses narines et Orochimaru la renifle avec satisfaction de sorte à retenir la bonne odeur combiné de ces poudres. Puis, tout en affichant un sourire machiavélique et ricanant légèrement, Orochimaru commence à ranger les dix paquets dans son sac. Ses yeux sont écarquillés d'une manière hystérique lorsqu'il pense au plan grandiose qu'il a pensé. Son plan commençait lentement, mais sûrement. Et pour cela, il peut se remercier d'avoir réussit à manipuler le rejeton de Naruto.

-Il est aussi naïf que son père... Pense avec divertissement l'homme âgé.

Brusquement, Orochimaru se souvient de l'objet métallique qui était rangé dans la poche de son pantalon. Toujours avec le sourire malsain, il sort l'objet en question qui s'avère être un large pistolet. Ce n'était pas la première fois que le demi-frère de Jiraya tenait une arme. A vrai dire, il admire ces objets si redouté et craintif aux yeux de la société. Et Orochimaru adorait cette sensation. Avec son arme, il peut faire peur n'importe qui. Y compris cette pimbêche aux cheveux roses qui lui sert de femme. Les yeux de Orochimaru se lèvent légèrement pour regarder droit devant lui. Au lieu d'y voir l'obscurité absolu, son esprit lui montre sa femme en question, Sakura. De l'agacement et la colère envahissent l'homme âgé en repensant à son sourire mesquin. Sans hésitation, Orochimaru pointe l'arme dans le vide, en réalité vers Sakura dans son esprit. L'homme aux cheveux noirs retrouve son sourire vicieux et murmure d'un ton glacial :

-Bam...

Puis il range son arme dans le sac. Une fois que Orochimaru a terminé de mettre tout les paquets dans le grand sac, il se redresse et retourne vers la porte qu'il y sort et la ferme. Puis il marche dans cet endroit abandonné et égaré des regards public. Il prend ensuite la direction des escaliers où quelqu'un l'attend en bas contre son gré. L'homme âgé ouvre la porte qui mène aux escaliers et les descend juste après tout en prenant la parole :

-Bon, Kabuto, j'ai un marché à te proposer. Si tu es calme pour aujourd'hui, je te laisserai partir...

Seul le silence lui répond et Orochimaru s'y attendait. Kabuto était attaché et sa bouche était recouverte par un mouchoir après tout. L'homme aux cheveux noirs finit de descendre des escaliers et s'avance vers le large poteau où son ancien allié était prisonnié. Tout en se dirigeant vers lui, Orochimaru poursuit son marché en question :

-J'accepterai que tu collabores à nouveau avec moi si tu gardes secret de tout ce que je vais te dire. Tu sais ce que ça veut dire, n'est-ce pas ? Si tu acceptes, tu pourras revoir ta chère ma-

Le sourire de Orochimaru se supprime vif et sa phrase a été tué par le choc qui la submergé. Ses yeux se sont écarquillés et sa bouche s'est grande ouverte. Il lâche inconsciennement le sac qui tombe brutalement au sol.

Il n'y avait pas de Kabuto et il a fallu beaucoup de temps pour Orochimaru de réaliser qu'il parlait dans le vide. Kabuto avait réussit à s'enfuir.

Orochimaru commence à serrer les poings et les dents, de la colère l'envahissant ensuite. Seulement les liens de chaînes et son tissu qui couvrait la bouche de Kabuto étaient présentes. Il ne sait pas par quel miracle son ancien allié a réussit à se libérer, mais c'était dans tout les cas une mauvaise chose. Orochimaru, désormais énervé, grogne puis poussa un cri de rage dans la pièce sombre :

CONDAMNÉE : TOME FINALOù les histoires vivent. Découvrez maintenant