101/Une adorable fièvre

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Impossible de dormir en sachant que ma mignonne nièce est tombée malade à cause du mauvais temps de hier soir... Il était environ 5 heures du matin quand Inojin, qui s'avère être le petit-ami de Himawari, a sonné à notre porte. Cette dernière était dans ses bras en train de dormir toujours avec de la fièvre.

Je ris encore à la peur qu'on avait eu Konohamaru et moi car on a cru que c'était un cambrioleur.

Himawari était dans sa chambre d'enfance et, durant toute la matinée, on s'occupait d'elle. Elle s'est réveillée une heure plus tard et on a pu la nourrir un peu. Après avoir mangé, elle s'est vite rendormie avant même que je lui dis que son petit-ami était derrière ces portes pour la voir. Konohamaru m'a persuadé qu'il s'occupera de tout à présent et je suis allée donc retourner me coucher.

Après un court sommeil, je me suis réveillée à cause du soleil brillant déjà à travers mes rideaux. Je m'étais souvenu de ma nièce et je me suis vite préparée pour aller voir comment elle allait. Dans sa chambre, quel n'a pas été ma surprise en découvrant Inojin, assis sur une chaise et endormie sur le lit de Hima. Sa main tenait celle de Himawari.

Il est resté pour veiller sur elle ?

Je souris, touchée par son attention adorable. Les deux dormaient toujours et j'aimerai pas réveiller Inojin, mais je suppose que sa famille s'inquiète pour lui. Après tout, ils ont été réfugié dans une maisonette à cause de la tempête d'hier. Je me dirige alors vers le beau jeune homme et secoue doucement son épaule en l'appelant.

-Inojin ?

Il s'éveille vite. Il se redresse ensuite en frottant une paupière et son regard est vite dirigé vers Himawari à ma petite surprise. Je peux lire une petite déception sur son visage de voir qu'elle est toujours endormie et fiévreuse. A ma déception à moi, il lui lâche la main, se lève, se tourne vers moi et me sourit soit pour me saluer ou s'excuser.

-Bonjour, j'espère que vous avez bien dormi. Et je suis désolé, je m'étais assoupie.

-Ce n'est pas grave, c'est tout à fait compréhensible. Ne te force pas trop, tu dois aussi penser à toi. Tu peux utiliser notre salle de bain pour te rafraichir un peu.

-Oh... Merci beaucoup. Pardon de vous déranger.

-Ce n'est pas un problème. Le rassurais-je une fois de plus.

Il jete un dernier regard vers sa petite-amie et quitte la chambre ensuite. Je me tourne vers ma nièce qui dormait la bouche légèrement ouverte à cause de sa fièvre de 40°. J'ai de la peine à la regarder et en repensant à ce que nous avait raconté Inojin hier soir. Je pousse un soupire désespéré et me dirige vers le bol rempli d'eau tiède. Je prends ensuite la serviette qui était posé sur le front de ma nièce et le touche ensuite. Je grimace un peu que sa fièvre n'a pas diminué du tout et soupire une fois de plus. Tout en trempant la serviette dans l'eau, je m'adresse à elle bien qu'elle ne m'entend pas :

-Ma pauvre petite nièce... Mais quelle idée aussi d'être sorti dans un temps d'aussi catastrophique ?

Je repose la serviette humide sur son front et l'observe. Même malade, elle était toujours toute mignonne et c'est ce qui me fait sourire de nostalgie. Je craque à son joli visage, m'accroupie, pose mes bras sur son lit et tapote gentiment sa joue.

CONDAMNÉE : TOME FINALOù les histoires vivent. Découvrez maintenant