MORT.

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Deuxième chapitre du jour ! J'espère qu'il vous plaira et merci beaucoup pour la patiente que vous avez. N'oubliez pas de voter ou de faire des petits commentaires, bisous !

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Je me réveille en sursaut, j'analyse autour de moi pour voir d'où vient ce bruit, et bizarrement ce sont les gardiens qui sont venus nous réveiller

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Je me réveille en sursaut, j'analyse autour de moi pour voir d'où vient ce bruit, et bizarrement ce sont les gardiens qui sont venus nous réveiller.

- On se réveille les chĩcas, maintenant vous allez nous dire la vérité !

Je réveille Mila qui est toujours aussi faible.

- Je n'ai pas envie de me réveiller...se plaint-elle

- Parce que moi j'en ai envie ?

Elle décide de se lever, je l'aide car elle est toujours affaiblie. Les gardiens ouvrent la cellule et attachent nos mains.

- Tu crois que c'est obligé de leur attacher ? Questionne un gardien

- Avec les femmes on sait jamais

Ils nous amènent dans le salon, un grand salon au mur beige et noir, un sofa noir prends la moitié de la pièce. Je n'ai même pas le temps de voir autre chose, qu'ils nous poussent au milieu de la salle.

- J'espère que Fernandinho ne va pas faire de connerie.

- Fernandinho ? Dit Mila déboussolée

- Fernandinho Gõmes en chair et en os. Répond un gardien

Des pas se font entendre, je tourne mon regard et un homme d'une vingtaine d'années descend les strates. Il ressemble à Paco, yeux brun, cheveux bruns. La seule chose qui le différencie de Paco est sa grande taille et sa petite barbe bien tracée.

- Bonjour mesdames ! Salut-il heureux

Il se pose sur le fauteuil bruns cuivre, Mila renifle et moi je commence à prier pour que Carlos vienne interrompre ce moment. Fernandinho fait tourner son verre dans sa main et juge Mila de haut en bas. Il me pose ses yeux sur moi puis rigole, est-ce que c'est drôle de voir une personne avec les mains attachées ?

- Je te laisserai la vie tranquille petite Edelia.

Je le scrute mais lorsqu'il me regarde aussi, je détourne la tête. Je ne sais pas si je dois lui demander la raison de pourquoi il va me laisser en paix.

- Si tu te demandes pourquoi je te laisse la vie sauve, c'est parce que t'es la sœur de Carlos.

Il sirote son liquide brun avant de soupirer.

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