MI NIÑA ÉCLIPSA.

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Je saisis mon manteau hâtivement pour partir car cette fille s'est enfuie et personne n'a des nouvelles d'elle. Je conduis jusqu'à la frontière mais je brûle des feux de rouge et les passants m'attaquent sauf que j'en ai un peu rien à foutre. Mes nerfs sont à vif, elle me rend fou. Je fais aussi appel à la police et à mes hommes pour sécuriser tous les lieux. Arrivé à la frontière, je descends avec furie et salus d'un geste de la main les autres qui patientent en étant armés. Je m'appuie contre le capot de la voiture et fume une petite clope pour m'apaiser. Edelia sait comment me mettre dans tous mes états et elle sait comment me calmer aussi. Elle joue avec ça. Mais la personne qui me fait le plus chier c'est Lola qui est déjà arrivée à la maison. Elle a essayé de rentrer dans ma chambre alors que je lui avais interdit alors je l'ai mise dans le sous-sol pour qu'elle comprenne que ma patience a des limites. C'était aussi à cause d'elle que je me suis permis de partir sinon je serai resté à la maison.

Señor Gõmes, m'interpelle un gendarme.

Je donne mon attention à l'homme qui vient de me déranger, il se tenait là, en tremblant mais avait quand même de l'assurance.

— Est-ce que la fille sait faire de la moto ?

De la moto ?

— Pourquoi ?

— Une femme venait en notre direction mais a fait demi-tour quand elle nous a aperçu.

Je ne savais pas comment le tuer, soit d'une balle dans la tête ou lui couper les yeux. Mais je respire profondément et jure.

— Foutu policier..

Je monte dans mon véhicule et démarre en trombe, j'accélère pour ne pas la louper car c'est la seule femme qui pouvait s'en foutre de sa liberté et qui pouvait mettre sa sécurité en jeu. Elle n'avait pas de casque. J'avais l'impression de flotter mais quand j'éteins son niveau. J'étais revenu à la réalité, elle avait fui en utilisant Mélissa. C'était vicieux. Quand la brunette me vit, ses yeux s'écarquillent, elle était abasourdie mais restait concentrée. Elle freine subitement tandis que je devais faire un dérapage pour ne pas trop m'éloigner d'elle. Elle est en bottine et en veste en cuir et ça lui va à ravir, je la matte de haut en bas sauf que celle-ci s'enfuit quand elle remarque que je m'approche d'elle. Elle court aisément mais mes hommes l'encerclent.

POUSSEZ-VOUS !

Elle les pousse et un d'eux essaie de la toucher mais avant qu'il puisse faire un geste. Je me rapproche d'elle.

— C'est la mienne pas touche.

Il s'excuse et d'un signe de la main, je leur demande de partir et ils obéissent.

— Viens ici.

— Je ne veux pas.

— Edelia.

Elle tente de partir mais je l'attrape par le bras et la colle à moi pour qu'elle puisse bien me voir et pour que je puisse sentir son parfum.. d'homme ?

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