PUNIRAI.

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Elles sont parties, elles m'ont échappé

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Elles sont parties, elles m'ont échappé. Ma colère a pris le dessus cela explique tout les cadavres qui sont dans mon bureau et qui gisent. Mes vêtements rougis, les gouttes de sang sur mon visage et ma bouteille de whisky dans ma main. Je souffle d'irritation et fais basculer mon bureau de l'autre côté tellement ma hargne est palpable.

C'était comme un venin qui se propageait dans mon être et qui me rendait dingue mais je me laissais emporter par ce goût métallique et par ce parfum de liqueur.

J'allume une cigarette d'une main tremblante et le coince entre mes lèvres, j'essaie de me calmer mais impossible. Je voyais noir, un voile recouvrait ma vue et mon cœur était en feu à cause d'elle. Je brûlais de l'intérieur, mon âme cramait petit à petit comme le bois dans une cheminée. Tout ceci à cause d'une nana, c'est elle qui a le pouvoir mais elle ne se rend pas compte.

Pour me distraire, je fis appelle à mes anti stress, elles devaient bientôt arriver. Je me précipite dans ma chambre pour m'allonger sur le lit et arracher ma chemise. Je prends une bouffée en pensant à ses tâches de rousseur. J'aurais bien aimé les compter, peut-être que ça me calmera.. Elle est partie, ma future femme m'a laissé.

Une tâche, deux tâches, trois tâches et quatres meurtres pour elle.

- Pute..

Je la déteste mais j'ai envie qu'elle devienne celle qui me sucera tout au long de ma vie, je n'ai pas réussi à la baiser. J'aurais dû le faire mais je voulais tellement qu'elle prenne plaisir. Voir les filles crier et pleurer c'est drôle et un peu excitant mais Edelia c'est autre chose. Elle dégage quelque chose de différent, pendant ces un an, elle a changé. Son caractères s'est endurcis et ses yeux parlent. Moi, homme de caractère dominant, ça m'énervait mais j'étais heureux car l'histoire devenait amusante.

J'ai été trop con et aveugle, elle est partie et je ne sais pas où. Mes hommes ne l'ont pas vu et agir imprudemment est fatale pour moi. Rodrigo a toujours un œil sur notre terre, il ne laisse rien passer. Il est plus impulsif et sévère, une chose mal faite et on se fait savonner.

- On peut rentrer ?

Je recrache la fumée et les regarde, Lola est aussi là. Cette fille qui s'est faite recaler par Drigo et maintenant à moi.

Une bonne petite chose.
J'ai réussi à avoir ce qui était à Rodrigo.

- Venez faire votre travail.

Elles courent vers moi et sautent dans le lit, certaines me déshabillent et les autres me caressent. Je prends plusieurs filles et les lèche une par une, elles s'embrassent entre elles et ça m'excite.

- Putain !

Lola me suce et ma délivrance est dans sa bouche qui engloutit ma bite, sa bave recouvre la longueur et la chaleur me fait enfin du bien. Je baisse la tête et remarque qu'elle sourit, je saisis ses cheveux et l'aide à aller plus vite. Ces gorges profondes sont incroyables, lentes et chaudes, elle bougeait ses fesses pour moi et je me sentais encore plus dure qu'avant. J'arrive à l'orgasme mais sa tête apparaît et mon téléphone vibre, je hurle. Je les pousse violemment du lit et prends mon téléphone.

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