Elles ont voulu échapper à l'enfer ensemble mais il a fallu un sacrifice. Cependant, elle a dû tenir une promesse qui n'était pas facile. A-t-elle réussi ?
Un changement radical dans sa vie, des problèmes à régler avant que la décision de son père n...
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Elle cesse de respirer mais me regarde avec une profonde haine qui se manifeste par sa gifle. Ma joue me brûle mais m'en fou. Je serre sa gorge et la plaque encore plus contre le mur sans couper le contact visuel qui me fait vibrer. Elle est magnifique.
— Quand vas-tu m'embrasser Rodrigo… ? Quand vas-tu m'embrasser parce que tu as des sentiments ?
Elle paraît troublée par mon comportement mais je ne sais pas comment l'expliquer correctement. J'ai juste envie de tout détruire mais d'une part j'ai envie de prendre Lia dans mes bras et l'écouter parler.
— Que dois-je faire pour que tu comprennes que…
— Que quoi Rodrigo ? Que tu t'amuses de moi ?!
— Non merde ! Je veux juste que tu saches que tu es la personne à qui je pense le matin et le soir, pendant la journée tu me tourmentes et je veux juste que tu m'apaises. J'ai besoin de toi Lia…
Je la supplie de me revenir car j'ai besoin d'elle, de son parfum, de sa voix, de son regard. Je la veux.
— Tu es si pure quand tu deviens vulnérable Rodrigo…
Mes jambes s'affaiblissent, je tombe à genoux devant elle. Elle hoquette, elle me force à me relever mais je reste ferme sur ma position.
— Lia… s'il te plaît…
— Rodrigo, tu me su-
— Oui et je serai prêt à le refaire s'il le faut ! Lia, reviens moi s'il te plait…
Je suis devenu faible pour une femme mais cette femme est plus important que quiconque dans ce bas monde. Je pourrais tout faire pour l'avoir. Son regard se remplit de compassion, après des longues minutes qui m'ont paru éternelles, elle saute dans mes bras.
— Te détester est une chose impossible, je ne sais pas pourquoi mais quand j'essaie, j'ai l'impression de me détruire à petit feu… se confie-t-elle.
— Et alors ?
Ses yeux s'écarquillent mais je reprends avant qu'elle ne se sente offensé et je la perde pour de bon.
— Mon amour est assez grand pour combler la haine que tu as contre toi-même. Tu verras qu'après quelques jours tu t'aimera plus et moi je t'aimerai car pas de Edelia sans Rodrigo pas de Sierra sans Gõmes et pas d'amour sans nous.
On s'embrasse plus fougueusement, nos langues valsent ensemble et la chaleur nous couvre et fait taire toutes nos pensées. Ses mains se promènent sur mon corps, ses caresses sont douces et sensuelles. Nous sommes à bout de souffle mais nous continuons tellement c'est sucré et doux. Une petite dose d'amour dans nos pulsions sexuelles malsaines. Je la prends par les cuisses et la dépose sur le lit, les draps se mélangent à nos gestes sauvages. Elle m'ôte tous ses vêtements tandis que moi, je lui fais baver. Je remonte légèrement son t-shirt, assez pour sentir sa peau froide. Je lui redonne un baiser avant de descendre sur son ventre pour y mettre ma bouche, elle remplit la pièce de ses petits gémissements. Son ventre se contracte quand j'y passe ma langue, l'excitation éteint tout mon stress et mes préoccupations sauf une seule. Faire jouir ma femme.
