PROMESSE.

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— Bon ! Tu n'as pas encore compris à ce que je vois ?!

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— Bon ! Tu n'as pas encore compris à ce que je vois ?!

Une semaine de tentative d'escapade est passée et la haine de Rodrigo ne fait que d'accroître. Tellement qu'il est stressé, j'ai de belles marques sur mes fesses. Mais des marques de tout type, fouet, main, pied et dents. Aujourd'hui, j'ai failli réussir mais il m'a reconnu.

— C'est bon, calmes-toi querido, provoqué-je avec grâce.

J'enlève ma perruque et le lance sur ma coiffeuse mais son arme y est alors pour bien lui montrer que je n'ai rien à foutre de lui. Je pousse son arme par terre.

— Tu t'es habillée en quelqu'un d'autre et tu veux que je me calme ?!

— Ouais et le blond me va plutôt bien, tu trouves pas ?

Je tourne sur moi-même malgré le fait que je n'ai plus ma perruque. Mes bottines me rendent plus grande et mon corset rend ma poitrine plus volumineuse. Je souris à mon querido dont la mâchoire va bientôt exploser, il paraît contrarié alors que je n'ai rien fait à part m'enfuir. Il y a des choses plus graves que ça.

— Viens ici.

— Non, toi viens ici.

La bonne nouvelle c'est qu'il s'approche vraiment de moi et la mauvaise nouvelle c'est que je ne m'attendais pas à ça. Il m'agrippe par la taille tandis que je mets mes mains sur ses épaules et caresse sa joue avec mon pouce. Il sourit aussi et pose sa tête sur mon épaule avant de me mordre violemment.

RODRIGO !

Je le repousse. Ses morsures commencent à me faire chier. Mon cou est rempli de traces car ses canines sont pointues et ça fait un mal de chien. En parlant de trace, la plupart de mes hématomes sont partis, j'ai repris un peu de poids et mes cheveux ont poussé. Ils m'arrivent aux épaules. Rodrigo m'attrape par la taille et me colle contre lui. Il essaie de me mordre la joue mais je hurle, alors qu'il se marre je me débats.

En vrai, nos journées ressemblent souvent à ça, il a beau être insupportable et en colère contre moi. Nous trouvons toujours un moyen de s'amuser. Il m'emprisonne dans ses bras et sans le vouloir, je tombe et Rodrigo se met tout de même sur moi. Mes cheveux m'empêchent de bien voir et ses jambes ne me permettent pas de partir. Étant essoufflée, je le laisse me mordre, ce qu'il fait avec joie avant de me relâcher. Je prends une profonde respiration, car j'étais vraiment à court de souffle, et me relève sauf que Rodrigo revient m'ennuyer en me bloquant le passage.

— Dégages, m'écrié-je à bout, je veux m'habiller !

— Va t'habiller à la salle de bain !

— Tu te fous de ma gueule ?! Il y a une semaine tu m'as dit que tu étais rarement ici et je devais faire comme si c'était ma chambre ! Alors bouge !

— J'ai dis ça mais ce n'est pas une raison pour que je dégage de MA chambre !

— Tu ne tiens même pas ta parole et tu veux que je me soumette ?!

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