A prickly rose.

Chapitre 6 : Pas comme Massimo.

                                   🌹.

Il ne dit rien et me regarde tout simplement.
Une minute, trois minutes, septs minutes.

Le temps passe autour de nous, sans que nous bougions.
J'attend sa réponse, j'ai besoin de savoir ce qui s'est passer, comment je suis arriver ici et qu'est-ce que je fais ici.

_ Je t'ai enlever pour que tu sois à moi, et juste à moi. Dit-il sur un ton froid.

Pendant une seconde, j'ai cru avoir mal entendu.

_ Tu ma prise pour ta captive ? Tu as cru que tu étais Massimo ? Dis-je en criant, presque en hurlant.

Sans que je le vois venir, il m'attrape par la gorge, rapprochant nos tête l'une de l'autre.

_ Lève encore la voix sur moi et je te promet que tu va le regretter. Il marque une pause avant de reprendre, et concernant Massimo commença t'il en rigolant à gorge déployée, je ne suis pas aussi sensible et patient que lui, donc évite de nous comparer.

Il me lâche violemment la gorge avant de quitter cette maudite chambre.
Mes jambes ne tiennent plus, je m'écroule au sol, des larmes coulent sur mes joue tel un ruisseau.

J'ai voulu joué, j'ai joué, et voilà ce qui m'arrive. Si j'étais rester en place, si j'avais garder mon statut de victime des autres, rien de tout cela ne me serait arriver.

Je rigole.

De rage.

Je rigole car personne ne va venir me chercher, personne ne va remarquer que j'ai disparu. Parce que je n'ai personne.
Personne.
Au final, je me retrouve aussi seule qu'au départ, qu'au moment où tout a commencée.

Je me lève du sol et m'asseye sur le lit, les genoux sur la poitrine et je réfléchis.
Je réfléchis à comment je vais faire pour sortir d'ici. Comment...

Pablo_

Assis en salle de réunion, j'entends les informations que mes hommes me communique sans écouter, je suis beaucoup trop perdu dans mes pensée pour ça.

J'ai enlever cette femme parce qu'elle a le pouvoir surnaturel de m'exciter juste en me regardant. Elle met du piment dans ma vie, c'est tout ce que je souhaite.
Je repense à lorsqu'elle m'a comparer avec cet imbécile de Massimo, qui a enlever une femme pour qu'elle tombe amoureuse de lui. C'est complètement bête.

Il a lui même créer sa propre faiblesse.

C'est con. Très con.

Mais peut importe, je met fin à cette réunion et me dirige vers la cuisine, toute cette histoire à créer un puit dans mon estomac.

Et encore une fois, debout devant le frigidaire, je suis incapable de faire bouger ne serait-ce qu'un membre lorsque mes yeux se posent sur elle, dans son regard marron.

Plus de la moitié de la terre possèdent des yeux de cette couleur et pourtant, elle est celle qui les portent le mieux.

Elle se sert un verre d'eau sans me lâcher du regard, elle me met au défis.
Si seulement elle savait ce que j'ai envie de lui faire maintenant dans cette putain de cuisine, elle serait certainement surprise mais ne dirait pas non.
C'est n'est qu'alors à ce moment que je remarque ce qu'elle porte sur elle. Oh mon Dieu ! Dites moi qu'elle est pas sérieuse.

A travers le grand t-shirt blanc qu'elle porte, je peux apercevoir la pointe de ses seins démuni de tout soutient gorge, faisant monter un excitation incontrôlable en moi.
Des images d'elle grimpant sur moi, me chevauchant comme si j'étais son cheval remplissent mon cerveau.

Reprend toi Pablo !