Chapitre 61 : L'apéritif.

642 22 0
                                    






🌹.



Pablo_

Alors. Elle se souvient de tout ? Ça y est ? J'ai retrouver ma Anna ?

_ On va vous laissez, dit Elena en poussant Jayden vers la porte de sortie.

J'hoche la tête en les regardant passer cette porte. Anna est énerver contre moi, et je sais qu'elle en a tout les droits, ce que j'ai fais il y a trois ans aucun monstre sur terre ne pourrais le faire, mis à part la Bête. Mais au contraire de lui, j'ai enlever Belle pour le... sexe.
Oh purée.

Lorsque je l'avais kidnappé, je ne voyais pas cela dans cet angle. Je n'étais pas encore amoureux d'elle, et j'étais con, terriblement con. Ce n'est que maintenant que je vois mon erreur. J'aurais pu faire comme tout le monde et lui donner rendez-vous dans ce putain de casino, qu'on fasse les choses bien.

Je vais dans la cuisine me servir un verre de whisky, avant de me poser sur mon canapé.
J'ai commis une très grosse erreur, et je sais que je lui dois des excuses, je droit rattraper mon erreur, mais quoi que je fasse, rien ne changera le fais que je l'ai kidnappé.

Après avoir englouti mon verre, je le pose sur la petite table du salon. Je suis pris d'une bouffer de chaleur, et mon corps ne réclame qu'Anna.
Il faut que je lui parle, absolument.

Je monte les marches de l'escalier, et une fois dans sa chambre j'entends l'eau de la douche couler.
Sans vraiment savoir ce que je fais, ni qu'elle seront les répercussions de mon acte, j'obéis à l'une de mes pulsion, j'écoute la petite voix qui est dans ma tête et ouvre la porte de la salle de bain.

Anna se douche dos à la vitre de cette grande douche.

En essayant de faire le moins de bruit que possible, je me déshabille, avant de me faufiler dans la douche avec elle.
Anna sursaute lorsque mon torse se colle à son dos. Elle se retourne immédiatement, avant de planter son regard assassin dans le mien.
Elle est vraiment énerver.

_ Qu'est-ce que tu fais là Pablo ? Elle me demande en regardant mon torse, sans se priver de regarder bien plus bas.

De mon pouce, j'effleure la parti inférieur de ses lèvres en collant mon front contre le sien. J'ai envie de les embrasser et de ne jamais les lâcher. J'ai envie de la sentir contre moi, qu'elle ne soit qu'à moi.

_ Pablo... sa voix n'est qu'un doux murmure.

Son regard empreint de colère à laissé place au désir. Un flot d'idées parcours mes pensées, et l'envie d'inauguré toutes les pièces de la maison me tente aisément.

Anna_

Pablo est entré dans la cabine de douche avec moi, et bien que je sois toujours énerver contre lui, je dois avouer que le désir me consume petit à petit.
A quand remonte la dernière fois que son corps ses collé au mien ?

Je sens son souffle chaud s'abattre au creux de mon cou, avant de sentir plusieurs de ses langoureux baisers sur mes épaules.
La chaleur de son corps m'envahit, et je serais tenté de m'abandonner entièrement à lui, de lui donner tout ce qu'il voudra de moi.

Mais je ne peux pas faire ça, je suis toujours énerver contre lui, et sa façon de toujours régler nos problèmes par le sexe m'énerve d'autant plus.

_ Arrête de toujours vouloir tout régler par le sexe, je lui dis en plantant mon regard dans le sien hypnotisant.

Il caresse lentement ma joue.

_ Pourtant, j'aime bien lorsqu'on sex-plique, il dit en souriant, content de sa blague stupide.
Pourtant, je me sens rougir.

J'ouvre la bouche afin de rétorquer, mais Pablo en profite pour prend possession de celle-ci avec tant de force que je me sens presque obliger d'accepter son baiser.
Notre étreinte se fait tout d'abord douce, passionnée, pour au final laisser place à plus de sauvagerie, de brutalité.

Je veux le sentir contre moi, à l'intérieur de moi. Je veux que chaque parcelle de mon corps se souviennes du sien. Je le veux.
Il m'a tellement manqué.

Il fait glisser ses mains sur mes fesses, empoignant celles-ci de toutes ses forces, puis gémis contre ma bouche. J'avale son gémissement tandis qu'une multitude de petit papillons parcours à présent mon ventre, ainsi que mon entrejambe.

_ J'ai envie de toi, bordel, Anna.

Purée. Je me sens fondre sous son toucher. Sa voix rauque provoque une vague de désirs dans tout mon corps.
Je glisse mes mains dans ses cheveux, tirant légèrement sur les pointes. Il gémis à nouveau contre mes lèvres.

Il se détache légèrement de moi, observant chaque petit détaille de mon visage, avant de me retourner brutalement, ma poitrine coller a la paroi froide de la douche de me procure d'autant plus de sensation.
Je vais exposer.
Je sens son torse se coller contre mon dos tandis que son erection se colle contre mes fesses, augmentant mon désirs.

_ Dis moi ce que tu veux, utilise t'es mots pour me dire ce que tu veux vraiment. Et je te promet mi bella, que je te donnerais tout ce que tu voudras, il chuchote à mon oreille, la voix grave.

Je bouge légèrement mes fesses contre son sexe pour qu'il puisse comprendre ce que je veux.

_ T'es mots mi bella, il me chuchote à l'oreille tandis qu'il empoigne mes cheveux, me faisait baisser la tête.

_ Je te veux Pablo, je te veux, dis-je impatiente.

_ Es-tu sûre de me vouloir réellement ? Parce que je prévois de faire certaines choses avec toi, es-tu prête ? Il me dit avant de m'embrasse la nuque, puis derrière mon oreille, la zone sensible.

_ Je suis à toi.

Il n'attend pas une seconde de plus et me pénètre lentement, si l'entendement que j'ai cru que mes jambes allaient lâcher prise.
Ses coups de reins prennent rapidement de l'ampleur, et le seul son qu'on entend sont nos gémissement et son corps claquant contre le mien.

_Jouis pour moi, je veux t'entendre prononcer mon nom Anna.

Je sens très vite le désir parcourir mes veines, comme du venin. Mon entrejambe s'enflamme et une multitudes de sensations prennent part de mon corps.

_ Pablo, je gémis en appuyant ma tête contre la paroi de la douche, n'ayant plus la force de la soutenir. Je m'abandonne à lui.

Je sens Pablo trembler à l'intérieur de mon corps tandis que nous voyageons ensemble vers une destination destinée à être très charnel.

Pablo me retourne afin que je sois face à lui, son visage près du mien, je sens sa respiration saccadée contre mes lèvres.
Mon regard s'encre dans le sien, et je comprend très vite que rien n'a encore commencer.

Car après tout, après l'apéritif vient l'entrée.

A prickly rose. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant