A prickly rose.

Chapitre 11 : Bogota.

🌹.

Pablo_

Je me réveille d'un long sommeil, je crois bien que c'est la première fois depuis longtemps que j'ai aussi bien dormi.
Je relève ma tête et la découvre, cette femme.

Les yeux fermés, les cheveux éparpillés de partout, sa douce respiration.
A cet instant, nous pourrions très largement la comparer à une déesse.

Retournons à la réalité voulez-vous.

Je me lève de mon lit, attrape un t-shirt au hasard ainsi qu'un pantalon et me dirige vers la cuisine ou j'y trouve Amanda.

_ Hola jefe, ¿dormiste bien? la lasaña que preparé ayer está en la heladera. ( Bonjour patron, avez-vous bien dormi ? les lasagnes que j'ai faites hier sont au frigo.)

Aujourd'hui c'est samedi, elle prend son week-end et ne reviendra que mardi.

_ Bien gracias, dis-je en la regardant partir avec sa petite valise violette.

Elle a préparer un festin, il y a de tout sur la table.
Je tire la chaise en arrière et m'assieds avant de commencer à entamer mon petit déjeuner, j'ai une faim de loup.

Quelque minute plus tard, Anna m'y rejoint.
Elle semblait être triste de savoir qu'Amanda était parti sans même le lui dire.

_ C'est quand que je pourrais sortir ? Me demande t'elle ses yeux marron dans les miens.

Je sais qu'elle veut sortir, voir ailleurs, mais je ne lui fais pas encore assez confiance pour cela, elle devra attendre encore quelque mois.

_ Il me semble t'avoir répondu hier, la réponse n'a toujours pas changer, c'est non.  Lui répondis je assez froidement en espérant qu'elle ai comprit. 

_ Mais tu as peur de quoi ? Comment tu veux que je m'échappe, je connais rien a l'espagnole hormis les mots de base, et puis je connais rien ici. Elle me répondit avec agacement.

Elle n'a pas totalement tord mais...

_ Tu peux venir avec moi si tu n'a pas confiance en moi. Dit-elle d'une voix douce qui réchauffa anormalement mon cœur.

Je la regarde quelque seconde dans les yeux, cherchant sa faille mais n'en découvre rien.

Alors...

_ C'est d'accord, dépêche toi de manger on part maintenant. Dis-je en le levant avant de débarrasser la table.

Anna_

Je vais enfin pouvoir quitter cette maison, je commençais sérieusement en avoir marre de mettre les vêtements d'Amanda.
Alors je quitte également la table, nettoie ma vaisselle et me dirige vers ma chambre afin d'enfiler une autre tenue d'Amanda un peu plus décente que le pyjama que je porte actuellement.

Une fois prête, je rejoins Pablo qui m'attend dans le salon principal adosser à un murs, il pianote sur son téléphone portable.
Lorsqu'il a enfin remarquer ma présence, il de redresse et m'invite de sa main droite à quitter la maison... pas des escaliers qui mène vers le bas. Une cave ?

Alors je le suis et découvre un garage compétant plus de six voiture, les unes aussi belle que les autres.
Il choisis une Mercedes.

Sur la route, j'observe le paysage qui défile devant moi, c'est assez beau.

Après quelque minute de route, nous arrivons devant un centre commercial nommé Andino a Bogota d'après ce que j'ai compris.

_ Dépêche toi de voir ce qui te plait, je ne compte pas passer toute mon après-midi ici. Me dit l'autre de son ton toujours aussi froid.

Je ne m'attarde pas sur lui et commence mon repérage à travers plusieurs vitrine, il y a tellement de magasin que j'en perd limite la tête.

Je rentre dans un magasin nommé Velaz, sélectionne plusieurs vêtements et le retrouve en cabine.

A chaque tenu essayer, je sors de la cabine afin de la montrer à Pablo qui est plus intéressés à ce qui ce passe sur son téléphone qu'à moi.
Je peux remarquer que ses sourcils sont anormalement froncer.
Je fini donc mon essayage et quitte la cabine lorsque j'entends des coups de feux, ou peut être des pétard.
Je n'ai jamais entendu de coup de feux de ma vie, mis à part à la télé mais là, tout le monde s'est baisser, les mains sur la nuque.

Pablo me tire vers lui et nous quittons la boutique en courant vite, très vite, trop vite.
Mes petites jambes ne tiennent pas, je ralentis sous les râlements de Pablo.

Il peut râler autant qu'il le veut, c'est à peine si je comprend ce qui est entrain de ce passer.

Nous quittons le centre commercial toujours sous les bruits des coups feux qui semble nous suivre.
Nous nous cachons dans une aller remplit d'ordure et de grosse poubelle.

_ Tu reste là, ne bouge surtout pas ! M'ordonna Pablo visiblement très énerver.

Je secoue la tête signifiant un oui tandis qu'il repart je ne sais où.
Mon cœur bat vite, jai peur... pour lui.

Quelque seconde plus tard, les coups de feux semble s'être calmer, à prendre j'entends la voix de deux hommes, je reconnais très rapidement celle de Pablo.

_ On ma raconté comme quoi que tu cachais une petite gatito, tu ne me la présente pas ? Dit l'homme d'une voix grave.

_ Je ne savais pas que tu étais du genre à écouter les « on m'a dit », répondit Pablo.

L'homme rit a gorge déployé, je ne l'ai jamais vue mais je suis certaine qu'il est dangereux, très dangereux.