Chapitre 42.

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                                                                             Fin.

                          Partie II 🌹.

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                                   🌹.

« Parce que tu as décidé de mettre fin à ta vie pour la mienne, que je vivrais confortablement ».

2 ans plus tard.

_ Alors ? Ça y est, tu y vas ? Je demande Daniel qui porte un sac à dos sur les épaules.

_ Oui, je vais délivrer celle que j'aime, me répond t'il d'une voix basse, de peur de faire saigner la plait qui n'est pas encore refermer.

_ J'espère que tu la retrouvera, dis-je en me dirigeant vers la sortie de la maison.

_ Tu vas encore la voir ? Me demande t'il, un regard insistant sur le bouquet de fleur que j'ai entre les mains. Tu es aller la voir tout les jours depuis qu'elle a disparu, tu devrais te faire une raison.

Non. Non.
Je me rapproche dangereusement de lui, il n'aurait jamais dû dire ça.

_ Me faire une raison qu'Anna soit morte ? Tu veux que je m'en fasse une raison ? C'est la femme que j'aime qui est morte bordel !

_ Ça fait 2 ans Pablo, passe à autre chose.

Ok, il faut mieux que je quitte cette maison avant de lui éclater la gueule.
Oui, je suis aller tout les jours sur sa tombe, même si son corps n'a pas été retrouver.
Oui, j'ai essayer d'avoir d'autre relation avec des putes en essayant de l'oublie sans réussite.
Oui, je me suis bourré la gueule pendant 1 ans, parce que je n'arrivais pas à croire qu'elle était morte, et je n'arrive toujours pas à y croire aujourd'hui.
Pour moi, elle passera cette porte un jour ou l'autre, alors oui, je l'attend.
Je refuse qu'on me dise que je dois accepter sa mort, car jamais je ne l'accepterais.

Le téléphone de Daniel sonne. Il le prend dans sa poche arrière avant de décrocher.
Il parle quelque seconde avant que le téléphone ne lui tombe des mains et que son regard s'accroche au mien. 
Je lève un sourcils dans l'attente d'une réponse de sa part.

_ Elle est là, ils ont réussi à la ramener. Dit Daniel les larmes au yeux.

_ Elle est là où ? Je demande.

La sonnerie de la maison retentit en un « Dig dong ».
Je me dirige vers celle-ci pour l'ouvrir et je suis incroyablement surpris de découvrir Livia.
Livia ! La Livia d'il y'a plus de 4 ans.

Daniel de précipité vers moi, tandis qu'elle pénètre la maison, un sourire coller au lèvres.
Lorsqu'elle aperçoit Daniel, son corps reste figer, et de même pour mi primo.
Je préfère leur laisser leur intimité, alors ne quitte la maison en direction du cimetière.


Je retire les fleurs d'hier qui ont légèrement fanées.
Aujourd'hui, je lui ai acheter des roses blanches, j'espère que ça lui plaira.
J'ai extrêmement honte de ne même pas savoir qu'elles sont ses fleurs préférer, mais d'après moi que ce sont les roses rouges.
Ça fais un moment que je ne lui ai pas parler, alors je vais le faire aujourd'hui.

_ Salut mi bella. J'espère que toi ça va, moi, pas trop depuis que tu es parti.
Tu me manque terriblement, mais j'ai compris que tu m'avais donner ta vie.
Alors tu sais quoi ? Je ne suis plus un mafieux.
Je n'utilise plus d'arme, je ne vend plus de drogue. J'ai créer ma propre entreprise qui est totalement légal, et tu sais c'est quoi ?
C'est une entreprise de colis. Nous retrouvons des colis qui sont par exemple perdu, nous les distribuons.
A vrai dire, je ne sais pas vraiment pourquoi c'est cette entreprise que j'ai décidé de créer, mais en tout cas ça me rapporte beaucoup d'argent, même plus que lorsque j'étais un mafieux.
J'aurais aimer te connaître maintenant. Nous aurions sûrement eu une vie normal.

Je regarde l'heure à ma montre. Il est déjà quatorze heures, il faut que j'aille travailler.

_ Malheureusement je ne peux pas te parler plus que ça, je reviendrais te voir demain, comme à mon habitude. Je t'aime mi bella.

Je me lève en faisant attention de bien mettre les roses que je lui ai acheter.
Je lui lance un bisous avant de quitter le cimetière, avec un mal de gorge.
Elle me manque tellement, c'est vraiment lorsqu'on perd quelqu'un qu'on voit la valeur qu'elle avait dans notre vie.

Je monte dans mon véhicule, met le contacte et démarre en direction de mon entreprise.
Je suppose que Daniel ne viendra pas travailler aujourd'hui, voir même de toue la semaine.

Une fois arriver, mes employer me saluent comme d'habitude tandis que je me dirige directement dans mon bureau où je desserre cette cravate qui semble vouloir m'étrangler.
Je respire un grand bol d'air avant d'allumer cet ordinateur et de consulter tout mes mails. 
Et c'est parti pour la même journée de travail depuis un an.

A prickly rose. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant