A prickly rose.

Chapitre 49 : Rencontre.

🌹.

Pablo_

Voilà plus de deux heures que je passe en revu tous les documents concernant les exportations de mon entreprise. Un inspecteur est censé passer dans deux jours, je dois donc m'assurer qu'aucun de mes employer n'ai fait quoi que ce soit comme fraude, ou autre.

De là où je suis, j'entends le film d'horreur que regarde mes primos, accompagner bien évidement des gémissements extrêmement aigüe de Jayden. Je commence sérieusement a avoir des doutes sur son sexe, comment c'est possible d'avoir une voix aussi aigüe ?

Je me tiens la tête qui est au bord de l'explosion, je dois absolument terminer toute cette paperasse pour ensuite rendre visite une nouvelle fois à Anna, j'ai des choses à lui raconter et c'est la seule qui m'écoute lorsque j'en ai besoin, la seule qui guéri mes maux, tandis que moi je ne peux rien faire pour elle, et j'ai d'ailleurs jamais rien fais pour elle.

On dit que c'est lorsqu'une personne meurt qu'on comprend l'importance qu'elle avait dans notre vie, si seulement j'avais su plus tôt, j'aurais tout changer pour la rendre heureuse.

Lorsque nous étions en France, je n'ai pas saisie ma chance de l'approcher, par la suite l'univers m'a donner une deuxième chance, lorsqu'elle est arrivée au États Unis, et visiblement l'univers ne me donnera pas de troisième chance.

Je soupire bruyamment lorsqu'une sonnerie retentit dans toute la maison.
Trop, c'est trop !
Je quitte mon bureau en trombe et descend une nouvelle fois ces fichus escaliers qui craquent sous mes pieds.
Mes primos me regarde d'un air inquiet, tandis qu'Elena semble déçu que son film se soit arrêter pour laisser place à une carte sur la télé.

Quelqu'un a déclencher les détonateurs qu'on avait mit dans la forêt, quelqu'un s'est introduit dans notre territoire.
Je fonce dans la cuisine accompagner de Daniel, ouvre le placard contenant des boites de conserves.
Je tire sur la conserve contenant du maïs, le placard change, laissant place à des armes au lieu de ces fichus conserves.

Je prend simplement mon fusil à pompe qui fera très bien l'affaire, avec quelques munitions, tandis que Daniel prend son joue joue habituelle -son fusil d'assaut.

Nous nous dirigeons ensuite vers cette forêt, Jayden et Éléna reste à la villa, pour si toute fois nous nous faisons attaquer.

_ Tu pense que ça pourrait être qui ? Me demande Daniel qui n'a pas l'air dans son assiette depuis tout à l'heure là.

_ Je ne sais pas, mais nous allons bientôt le découvrir. Dis-je en me positionnant correctement, les bras tendu, mon arme en main.

_ C'est ce détonateur qui a été enclenché, me dit Daniel lorsque nous arrivons sur les lieux.

Nous regardons autour de nous d'un œil extrêmement méfiant, la personne qui a enclenché ce détonateur a normalement dû être blesser et même projeter à plusieurs mètres du lieu où nous nous trouvons.

_ No puedo creerlo, era ella, ¡no estaba soñando! (Je ne peux pas croire que c'était elle, je ne rêvais pas !) s'écrit soudainement mon primo faisant s'envoler plusieurs oiseaux qui dormaient certainement dans leur nids.

Je me dirige vers lui afin de voir ce qu'il a trouver. Au sol, une femme est coucher, son bras semble saigner énormément, elle ne semble pas être consciente.

_ Nous allons simplement appeler une ambulance, je ne veux être embarqué dans quoi que ce soit. Dis-je en sortant mon téléphone de ma poche arrière.

Soudain, Daniel m'arrête dans mon mouvement, ancrant son regard dans le mien, avant de regarder une nouvelle fois la femme qui est au sol.
La nuit est tomber depuis un petit moment, je ne détaille que les formes du corps qui est coucher au sol, mais mon primo agit de façon étrange, il ne parle pas.
Pourtant, c'est comme s'il reconnaissait le corps qui est allonger au sol.

J'active la lampe torche de mon téléphone et la dirige vers le visage de la femme allonger.
Lorsque mes yeux détaille ses lèvres, ses cheveux, la forme de ses yeux, ses pommettes -son visage en entier -je suis pris de violant tremblement, m'obligeant à lâcher mon téléphone.

Daniel s'abaisse à mon niveau en le récupérant au sol, avant de placer une main dans mon dos.

J'y crois pas, cette femme est la sosie parfaite d'Anna, on pourrait même croire que c'est elle, pourtant c'est impossible.
Anna est morte, ma Anna est morte juste en face de moi.

_ Nous devons l'emmener avec nous. Me dit Daniel en plaçant un bras sous les genoux de cette femme et son autre bras sous son dos.

Tandis que moi. Moi. Je reste accroupie au sol, interdit.
Pourquoi il veut l'emmener à la maison ? Qu'est-ce que ça signifie ?

Je me lève d'un bond en le suivant, mes jambes avancent, mais mon cerveau est complètement déconnecté du reste de mon corps.
Je ne comprend plus rien, mon cerveau est complément embrouiller, comme une télévision dont l'antenne est mal orienter.