A prickly rose.

Chapitre 14 : Crise.

🌹.

Anna_

Assise en tailleur sur mon lit, je regarde par la fenêtre les oiseaux qui chante et voles comme si ils étaient dans le plus beau des mondes, tandis que moi... moi j'ai l'impression que le mien va s'arrêter. Je ne saurais dire ce qui ce passe entre Pablo et moi, mais un lien indescriptible, très fort nous unie, au delà du fait qu'il m'ai enlever.

Mon coeur est comprimé, mes battements se font de plus en plus fort, de plus en plus vite.

J'entend un énorme bruit a l'extérieur de la maison, un bruit qui est inhabituelle. Malgré le fait qu'il y est des gardes armer a l'extérieur, je me lève tout de même de mon lit et me dirige vers la cuisine ou une fenêtre me donne accès a ce qui ce passe juste devant. C'est alors là que je remarque trois voitures garer juste en face et une quatrième un peu plus loin, des hommes cagouler et armer en sorte.

Des coups de feux retentissent, brisant les vitres de la fenêtre ou je me situait à l'instant, je me baisse et rampe jusqu'au salon, malgré le bout de verre qui a pénétrer mon bras gauche. La douleur est très forte, mais je ne dois pas lui montrer d'importance.

Sauver ma vie, voilà ce que je dois faire.

J'empreinte les escaliers qui mènent a une possible cave, mais mes yeux se noient dans l'obscurité et je rate une marche de cet escalier cimenté. Mon corps se retrouve écraser au pieds des escaliers, une forte douleur se fait ressentir dans ma cuisse droite, je pose ma même si celle-ci qui est anormalement humide.

Une forte odeur de sang vient se mêler a travers mes narine.

Et merde.

Je me lève tant bien que mal en m'appuyant sur le murs situer a ma droite, laissant la marque de ma main rempli de sang. Mes iris s'habituent au fur et à mesure à cette obscurité.
Je regarde autour de moi, il n'y a que des étagères avec différentes bouteilles d'alcool là dessus.

Alors, avec le peu de force que j'ai, je pousse une étagère vers l'avant et y découvre un trou dans le murs cimenter qui donne accès à nul part.
Je me place à l'intérieur et pousse l'étagère vers moi.
Il fait sombre, très sombre.

Et la peur prend possession de mon corps, je n'arrive pas à respirer, ou du moins, ma respiration se fait de plus en plus lourde, mon cœur bat à une vitesse folle et ma tête tourne.

C'est horrible ce sentiment d'étouffement, pourtant c'est le seul moyen si je veux rester en vie.
Je ferme les yeux et essai de contrôler ma respiration.

Calme toi Anna, tout va bien ce passer, respire !