A prickly rose.

Chapitre 48 : Se perdre pour mieux se retrouver.

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Analia _

Debout derrière cette grande porte, j'attend que Daniel me donne son signal.
En attendant, j'entends tout ce qui ce passe à l'intérieur.
J'arrive à distinguer ce qui ressemble à trois fois, une femme et deux hommes.
Je n'arrive pas a reconnaître les deux premières, mais la troisième qui semble énormément énerver m'est extrêmement familière.

Mon cœur bat à m'en faire mal dans ma poitrine, mes jambes m'hurlent de m'enfuir a toute vitesse, de partir loin d'ici, que je ne devrais pas me trouver sur ce pallier.
Alors, j'écoute la petite voix qui me dit de partir et cours en quittant cette résidence.

Je ne sais pas vraiment où est-ce que je vais, ni même ou est-ce que je suis, j'avance dans un lieu complément inconnu.
Plus je marche, et plus je m'engouffre dans ce qui ressemble à une forêt.
Les arbres semblent toucher les nuages tellement il sont grand.

_ J'aurais du rester là où j'étais. Dis-je à voix haute, mais sérieusement à quoi est-ce que je m'attendais en partant ?

La seule solution que je trouve est de rebrousser chemin.
Le problème étant, où se situe la sotie de cette immense forêt où tout les arbres se ressemblent, aussi grand les uns que les autres.
Un son d'animal se fait entendre, je dirais un hibou, ou alors une brebis.
J'en ai aucune idée, je ne viens pas de ma campagne. Quoi que, une brebis dans une forêt ?

Ok Analia, respire et calme toi !

Plus facile à dire lorsque nous sommes perdu dans une forêt tout droit sorti d'un film d'horreur.
Je prie silencieusement pour que Daniel décide de partir à ma recherche, si bien évidement il a remarquer mon absence.
Je marche dans le sans contraire de mon arriver, espérant qu'ainsi je puisse retrouver mon chemin. Mais quand bien même j'aurais retrouver la civilisation, je resterais perdu.

Au bout de quelque minutes, j'entends enfin ce qui ressemble à des bruits de circulation. Je ne suis pas loin de la route.
Je fixe l'endroit où j'entends ces son de mécanisme d'auto, sans le soucier de ce qui m'entoure lorsque qu'un énorme bruit de craquement se fait entendre et que mon corps de fait propulser à plusieurs mettre, sans que j'arrive à me contrôler.

Une énorme chaleur se fait ressentir à l'intérieur de mon corps entier, tandis que lorsque je pose ma mains droite sur mon bras gauche, sentant une énorme douleur, mon corps se fait terriblement froid.
Ma tête tourne aussi vite qu'un simple manège pour enfant, en même temps que mon ouïe semble percevoir des sons au loin, très loin, et que ma vue diminue, jusqu'à devenir complètement noire.