A prickly rose.

Chapitre 58 : Flashback.

 

        
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Aujourd'hui est un jour comme tout les autres, je me fais réveiller par les caresses matinaux de ce doux soleil.
Je me frotte les yeux, afin de les habituer à la tête du lumière nouvelle. Sur ma poitrine, un homme y est coucher. Malgré le fait que sa tête sois assez lourde, ça ne me dérange pas.
Non, j'aime que cette soit coucher ainsi sur moi.
Sentant ma gorge me grater, je tousse en essayant de faire le moins de bruit que possible pour ne pas le réveiller, mais trop tard.
Sa tête s'est tourner dans ma direction, ses yeux vert fatigué dans les miens.
Il me sourit d'un petit sourire matinal. Il est mignon.

_ Tu as bien dormi ? Il me demande alors, toujours en restant sur ma poitrine.

_ J'ai très bien dormi, et toi ? Je m'entend dire.

_ Comment pourrai-je mal dormir sur ta poitrine, mi bella ?

Je me sens rougir comme une gamine, cette homme a un réelle effet sur moi.
Il caresse ma joue à l'aide de son pouce, avant de s'avancer et de poser un doux baisé sur mes lèvres.
Mon cœur semble sauter dans ma poitrine, que je l'aime cette homme. Tout cette amour qu'il y a pour lui dans mon coeur, dans mon corps, c'est inimaginable.
Je l'aime.

Le decors qu'il y a autour de moi change subitement. Je ne suis plus dans ce lit moelleux, mais debout dans la nature.
Le son des vagues me parviennent à travers mes oreilles. Je me retourne et remarque que nous sommes juste en haut d'une immense falaise, où l'eau semble gronder en contrebas.

À côté de moi, un homme qui doit avoir un certain âge me tient fermement le bras, ses dents noir dehors.
Il me fait peur.
En face de moi se trouve cet homme aux yeux vert qui était sur ma poitrine, avec d'autres hommes. 
Ses yeux semble refléter de l'inquiétude, beaucoup trop d'inquiétude.
Que ce passe t'il ?

Mon cerveau ne cesse de repasser les mêmes cassettes. Je t'aime, je t'aime, je t'aime Pablo. Je t'aime tellement.

Mon cœur ne va pas tarder à ce fracasser. La douleur que je ressens a travers chacun de mes membres, mon envie de courir vers lui et de le serrer dans mes bras. Lui dire encore une fois que je l'aime et que je l'aimerais toujours. Que rien ni personne changera l'amour que j'ai pour lui.
J'ai mal, j'ai trop mal.

_ Tu te rappel ce que je t'avais dis ? Je m'entend dire, « je te fais la promesse que- »

Un coup de feu se fait entendre, et tout va très vite, beaucoup trop vite.
Un homme armé à tirer en direction de Pablo, tandis qu'un autre homme a tirer en direction du l'homme aux dents noir qui me fait peur.

Heureusement, Pablo est intacte, il n'a prit aucune balle. Et vous savez pourquoi ?
Parce que j'ai couru si vite et je l'ai poussé tellement fort qu'il en a perdu l'équilibre. Et qu'à présent, une énorme tache de sang circule sur mon ventre, la douleur se fait ressentir qu'après.
L'homme au dents noir de dirige un peu plus près de moi, et un coup de feu retentit à nouveau.

Le vielle homme me tire le bras, tandis que je sens mes lèvres former un « au revoir » avant que les corps des hommes disparaissent, et que je tombe du haut de cette falaise avec cet homme.
Le temps semble être interminable. Lorsque j'atteins cette eau turbulente, j'essaie tant bien que mal de me débattre, de rester à la surface, mais je me fait à chaque fois emporter par ces vagues, jusqu'à ce que je lâche prise.

_ Mademoiselle ? Mademoiselle ? Mon corps semble se gonfler d'oxygène.

_ Mademoiselle ? Vous m'entendez ?

J'ouvre difficilement les yeux, tout est flou autour de moi. J'arrive néanmoins à distinguer la carrure d'une femme qui semble être assez âgé, agenouiller près de moi sur le sable.
Qui est-ce ? Qu'est-ce que je fais là ?

_ Q-qui êtes vous ? Je prononce tellement lentement que je me demande si la femme m'a entendu. J'ai mal au ventre.

_ Vous saigné au ventre, je vous ai désinfecté et penser. Comment vous appelez vous ? Elle me demande ensuite.

_ Je m'appelle...

Je m'appelle ? Comment est-ce que je m'appelle ? Qui suis-je ? Je ne sais pas, je ne sais plus.
Mais je sens une énorme douleur à la poitrine, comme s'il était déchiré, perdu, en deuil.