" L'amour est dans le pré, t'en trouverais peu dans mon ghetto"
Yazir : Yeh zebi Sanaa, tu me prend la tête! Tu me casse les couilles tu captes la?
Moi : Arrête de me parler mal..
Yazir : On dirait tu comprend pas quand je te parle, oh t'me casse les klewis Yazir fait pas ci Yazir fait pas, miss redescend ça fait 6 mois tu me dis "khtob moi" que ça qui sort de ta bouche! J'ai pas de situation tu le comprends ça ? Tu fais tes études, t'a à peine 18 piges j'en ai 22. J'suis qu'un putain de charbonneur, tu crois j'vais débarquer comme un pd chez toi en disant " Selem Aleykum la miff, je bibi, je dors encore sur les bancs de la GAV de temps en temps, j'me tue au pilon mais Sanaa elle a dit on s'aime merlish" ?Je sentais des larmes coulées. Plus le temps avance, plus il change. Je le reconnais plus. Il avait le regard fixe dehors. Si il veut plus de moi qu'il me dise non?
Yazir avant c'était... Indescriptible. On se tapait des fous rires en se pisser dessus. Il parlait bien de sa bouche pas comme maintenant. Il me lâche un regard de travers. Je décide de sortir de la voiture. Il en sort aussitôt.Yazir- Je vais te faire glisser ma vago ta race!
Je me contente de pas répondre. Qui crève lui et sa putain de porte de merde. Je me dirige vers l'arrêt de bus le proche pour rentrer chez moi. Il a pas cherché à me ramener, 0 appels 0 messages je peux clamser welou.
Hessoul, après 213 heures de trajet j'arrive à mon bloc. Remplis de teneurs de murs comme d'habitude. Je cala pas. Que des clochards ces gadjo là. Je monte et je vois un gars sortir de chez moi...