Partie28.

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"On sait pas où la vie nous mènera. Quoi qui m'arrive je te veux dans mes bras."

Un vendeur. KODR vous avez pensé à qui? On va se mentir, je le trouvais plutôt mignon.  Un rebeu, à vue d'œil j'aurais dit un marocain. Le rein plutôt mate, des yeux noirs, et des mignonnes petites fossettes.
En plus, pas du tout en survêtement! Encore heureux. Je lui souris pour le remercier. Kenza me fit un clin d'oeil.

Vendeur- Rougis pas ptdr.
Moi- D'où je rougis?
Vendeur- M'agresse pas j'ai trop peur.
Kenza- KODR.
Vendeur- Sah j'ai pas trop envie de taffer donc faites comme si je vous conseiller.
Moi- C'est le dernier de mes soucis ça.
Vendeur- Tu peux dire à ta copine qu'elle arrête de m'agresser là?
Kenza- Ma soeur mdr.
Vendeur- On dirait pas, hessoul je vais prendre ma pause ça vous dit on va manger un truc?
Kenza- En quel honneur?
Vendeur- Mais zebi arrêtez de m'agresser c'est quoi ces raclis?
Kenza- Mdr vazy on y va si tu veux.

[...]
Je mangeais tranquillement ma crêpe pendant qu'ils étaient entrain de s'embrouiller pour savoir qui allait payer. Ce gars je le trouvais plutôt louche. T'invite pas des gens que tu connais pas. Personnellement, je le ferais pas. #TropRadine
Ils reviennent tous les deux à la table. Je laissais Kenza s'énervait toute seule par ce qu'elle avait pas payer.

Vendeur- C'est quoi vos noms?
Moi-Asma.
Kenza s'étouffe avec son verre de jus et rigole.
Vendeur- Ton vrai nom.
Moi- Sanaa et elle Kenza.
Vendeur- Moi c'est Anis.
Moi- C'est ton doss' ça.
Anis- Je vais te gifler comment tu recale.
Kenza- Trop méchante l'enfant.
Anis- Elle a quel âge?
Moi- À croire je peux pas parler moi même tu lui demande.
Kenza- 18 ans, moi 21.
Anis- Tu m'étonne, je comprend c'est une gamine.
Moi- Je t'emmerde.
Anis- Pareil.

Il laissa son numéro à Kenza. Une fois notre journée finit, j'appela Yazir. Kenza partit et Yazir venait me cherche à l'entrée du centre. J'ai trop prit les gens pour des taxis non? Mdr. Je monta dans sa voiture.

Yazir- On fait quoi?
Moi- A toi de me dire.
Yazir- Ok... T'a faim?
Moi- Déjà manger.
Yazir- Si tu voulais pas me voir, fallait me le dire.
Moi- Si, je suis juste fatiguée.
Yazir- On va chez moi?
Moi- Pourquoi?
Yazir- On se pose, regarder un film?
Moi- Saha.
Yazir- Arrête de faire la froide.

[...]

Une fois arrivée chez lui, il ouvra la porte. Un ai cru j'allais m'évanouir. J'aurais tout présager sauf ça....

Sanaa&Yazir : chronique de la mort. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant