Partie117.

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"Je croyais etre au paradis mais je côtoie cette meuf de l'enfer."

Deux mois plus tard.

Mes enguelades avec Sanaa elles s'intensifie. Maria ? Je la voie minimum deux fois par semaine, j'arrive plus à me passer d'elle. Je sais pas ce qu'elle m'a fait. Je m'en veux de ce que je fais à Sanaa. Elle le mérite pas. Je redeviens le gros batard d'avant. Je m'occupe même plus des filles. Bref je sortais du boulot pour rejoindre Maria. Elle m'a prepare à manger. Un truc de son pays chelou. Je mangeais et elle est venue par derrière poser ses mains sur mon torse.

Moi- Tu veux quoi ?
Maria- J'en est mare de passer en deuxième, on passe jamais de moment! Tu viens tu me sautes et tu te casse!
Moi- Et alors? T'aime quand je te la met non?
Maria- Ouai mais...
Moi- Ferme ta gueule maintenant.

Elle veut quoi celle la aussi? Maintenant Madame veut des moments romantiques? C'est pas femme cette fille. Je sais qu'elle aime la violence. Bref je l'ai choppe par les cheveux et je l'ai prise sur le canapé. J'ai tiré mon coup tout en fumant mon pet'. Putain comment c'est bon. Maintenant je kiff l'entendre crier mon nom. Je fermais les yeux je la prenais fort. Elle me fait tout oublier. Tous mes soucis. On s'embrassait quand mon téléphone s'est mit à sonner : Sanaa. Putain. J'ai raccroché. Et j'ai continué
avec ma pute. Qu'est ce qu'elle est bonne.

Peau de Sanaa.

Je tournais en rond. Je me sentais pas bien et je devais aller chercher Nelya à la maternelle. J'appelais Ayoub en vain. Dès qu'il m'a répondu, j'entendais des bruits... C'était sa voix et celle d'une autre fille. Non putain Ayoub. Putain. C'est pas ce que je crois...

Sanaa&Yazir : chronique de la mort. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant