Coucou !
Je vous publie la deuxième partie du chapitre 14. Pas sûr que je puisse vous publier la suite ce week-end, je ferai mon possible...
Bonne lecture en attendant !
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Hermione et Charlie se quittèrent, comme tous les soirs sur le palier menant à la chambre de Ginny. Une fois que le rouquin eut embrassé le front de sa petite amie pour lui souhaiter bonne nuit, celle-ci regagna sa chambre. Elle s'attendait, comme à chaque fois, à se mettre au lit et s'endormir, en pensant comme à son habitude à une multitude de choses, parmi lesquelles figuraient bien évidemment les ASPIC et le dragonnier.Or, rien ne se passa comme prévu. Alors que la jeune femme refermait délicatement la porte de la chambre...
— Lumos ! s'exclama Ginny, baguette en main.
Hermione mit instantanément la main devant sa bouche pour s'éviter d'hurler de frayeur. Sa meilleure amie était certes terrifiante à en juger par la lueur qui se trouvait dans ses yeux, mais surtout, ce qui avait perturbé Hermione, c'était de se faire surprendre, de la même façon qu'une enfant ayant fait une bêtise.
— Cela fait deux heures que je vous attends, Hermione Jean Granger. J'exige des explications, maintenant. Et ne me dis surtout pas que tu étais descendue réviser, tes joues rouges te trahissent, menaça la rouquine en la pointant du doigt.
Ouille. Hermione s'en était doutée, elle n'avait rien dit à Ginny, et celle-ci avait découvert qu'il se tramait quelque chose – et à raison...
— Hum... Eh bien... J'allais tout te dire Ginny, je te promets, tenta de se justifier la brune.
— Qui ? Quand ? Comment ? Où ? demanda la cadette des Weasley d'un ton sans appel.
— Cela fait trois jours, après une discussion improvisée dans le salon.
— Et avec qui ?
— Ginny, je sais que tu sais...
— Certes, j'ai des soupçons, mais je veux l'entendre de ta bouche, sourit la rouquine machiavéliquement.
— Charlie... murmura Hermione.
— Je le savais ! s'exclama Ginny, triomphante. Mais tu ne m'as rien dit ! Cachotière va !
— Je voulais vraiment t'en parler, je ne savais juste pas quand, argua la brune.
— Et donc, ça fait trois jours, minauda la rouquine.
— La veille de Noël...
— Je veux tout savoir !
— Le contraire m'aurait étonnée, railla gentiment Hermione. Je me suis seulement levée parce que je n'arrivais pas à dormir, et j'avais soif. Il se trouve qu'il n'arrivait pas à dormir, et il s'est retrouvé face à moi dans la cuisine. On a passé la soirée à discuter de choses et d'autres, notamment de mes ASPIC en fait, je m'inquiétais – et m'inquiète toujours d'ailleurs – concernant mes révisions... Et puis on est remonté se coucher.
— Vu la couleur de tes joues Herm, ça ne s'est pas arrêté là, intervint Ginny.
Hermione lui tira la langue, avant d'ajouter.
— On s'est dit bonne nuit, et il m'a embrassée, finit-elle par avouer.
La rouquine joignit ses mains et regardait sa meilleure amie avec une expression de satisfaction mêlée à une certaine euphorie devant la situation.
— Et donc ? Tu sors avec lui ? Dis-moi que oui, je te veux comme super belle-sœur ! Même si j'aime beaucoup Fleur, c'est de toi là dont on parle ! s'exclama Ginny, plus que ravie.
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Finalement, je préfère affronter Vous-Savez-Qui
RomanceAprès la guerre, Hermione a décidé de revenir à Poudlard effectuer sa septième année et passer ses ASPIC. Elle rêve d'être la meilleure élève de tout Poudlard en obtenant un Optimal dans chaque matière, et cette première année sans la menace du mage...