Hey :)
J'espère que vous allez bien ! Voilà la suite :)
Je ne sais toujours pas, à ce jour, combien cette fiction comportera de chapitres...
Bonne lecture !
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Les jours qui suivirent sa visite impromptue des appartements de Charlie, Hermione et lui ne s'étaient que brièvement écrit. D'une part, le travail personnel de la jeune femme pour les cours n'allait pas diminuant, bien au contraire – au grand dam des élèves de septième année, toutes maisons confondues. Et, d'autre part, parce que la brune avait remarqué que Bill s'était mis à coller un peu plus son frère. Elle pensait qu'il commençait à avoir des soupçons concernant Charlie, depuis qu'il l'avait vu, baguette en main, devant ses appartements, essayant de ne pas laisser paraître qu'il venait d'embrasser passionnément la Préfète-en-Chef.
Bien sûr, Hermione y avait longuement réfléchi, et rien, pour elle, ne lui permettait de faire le lien entre le dragonnier et elle-même. Du moins, pas encore, puisque selon la sorcière, la vérité finissait toujours par éclater, et elle espérait que, dans le cas présent, cela ne se passe qu'une fois l'année scolaire terminée et ses ASPIC passés.
Plongée dans ses pensées, la Préfète-en-Chef se dirigeait vers la Grande Salle pour le repas du soir. Contrairement à la veille, elle avait fait en sorte de ne pas louper le dîner. Ginny était venue la chercher à la Bibliothèque, lui signifiant qu'elle s'était inquiétée de ne pas la voir au repas. La brune avait alors consenti à ranger ses affaires, avant de passer rapidement et discrètement aux cuisines pour demander de quoi se sustenter. L'aînée avait tenté d'y échapper, mais lorsque son ventre s'était mis à faire des siennes bruyamment, la rouquine s'était esclaffée en lui disant qu'elle faisait une bien piètre menteuse.
Arrivée devant la table des Gryffondor, Hermione prit place à côté de Demelza, qui lui indiqua que Ginny était partie chercher son Boursoufflet, pour lui faire prendre l'air. Quelques instants plus tard, la rouquine en question déboulait, avec la délicatesse d'un Troll des Montagnes, aux côtés de sa meilleure amie.
— Eh bien, quelle arrivée, se moqua Hermione. On dirait que tu avais un Scrout à Pétards aux fesses !
— Pire, grommela Ginny. Peeves. Cette espèce d'imbécile d'esprit farceur de mes deux boules de Noël !
— Quel langage soutenu ! s'esclaffa sa meilleure amie, aussitôt suivie par les autres élèves de leur promotion autour d'eux.
— Il ne mérite pas mieux ! grogna la rouquine. Je te jure, si je le choppe... Il a tenté d'enlever mon Boursoufflet, prétextant qu'il serait parfait en chair à pâtée pour Miss Teigne. J'ai réussi à le contrer une première fois, et j'ai essayé de lui lancer un chauve-furie, mais il est rusé ce bougre ! Il a tenté de l'attraper dans mon dos... Heureusement que le petit chou s'est glissé dans mon pull-over, et que le Professeur McGonagall passait par là, elle l'a littéralement fait fuir !
Les rires chez les Gryffondor redoublèrent. Tous imaginaient clairement la scène, et surtout la Capitaine de l'équipe de Quidditch en train de s'évertuer à lui lancer un chauve-furie. Ils se calmèrent un peu lorsque la Directrice leur souhaita un bon appétit, mais la bonne humeur présente chez les rouge et or ne disparut pas pour autant.
oOo
A la fin du repas, Ginny signifia à Hermione qu'elle se rendait rapidement à la volière, pour répondre à la lettre qu'elle avait reçu de Percy il y avait de cela quelques jours. Depuis la fin de la guerre, la rouquine admettait volontiers qu'il faisait de gros efforts pour renouer avec chaque membre de sa famille, surtout qu'il se sentait toujours plus ou moins coupable de la mort de Fred. Alors, avec Ginny, ils s'écrivaient régulièrement, Percy étant soucieux de sa réussite scolaire.
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Finalement, je préfère affronter Vous-Savez-Qui
RomanceAprès la guerre, Hermione a décidé de revenir à Poudlard effectuer sa septième année et passer ses ASPIC. Elle rêve d'être la meilleure élève de tout Poudlard en obtenant un Optimal dans chaque matière, et cette première année sans la menace du mage...