Coucou !
Nous voici nous voilà au moment fatidique, je vous laisse le soin de découvrir le contenu de cette partie ^^
Bonne lecture !
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Hermione se massa les tempes, reprenant ses esprits. Puis, elle se releva, et épousseta la jupe de son uniforme. Ce n'était clairement pas la pièce la plus propre du château à en juger par les nombreuses toiles d'araignées et le nuage de poussière que la jeune femme avait provoqué en frottant son vêtement.
Elle regarda autour d'elle, et la mémoire lui revint. Elle avait voulu toucher les gradins pour essayer de capter les vibrations qui semblaient s'en échapper. Seulement, cela ne s'était pas passé comme elle l'avait prévu. Alors qu'elle parlait encore à Theo, elle s'était sentie happée, comme lors d'un transplanage. Et puis, elle s'était retrouvée, brutalement, les fesses par terre, dans ce qui lui semblait être l'un des grands placards du troisième étage de Poudlard.
Heureusement pour elle, malgré la pénombre ambiante, elle avait réussi à retrouver sa baguette non loin de l'endroit où elle avait atterri.
— Lumos ! murmura la sorcière.
Lorsque sa baguette finit par éclairer la pièce, Hermione fut soulagée de voir qu'elle ne s'était pas trompée. Elle se trouvait toujours à Poudlard, mais au troisième étage.
— Bon, eh bien, il vaut mieux que je retourne au terrain pour ne pas inquiéter les autres, se dit-elle tout bas pour se donner contenance avant de sortir du placard.
Une fois dans le couloir, elle se promit de contacter rapidement Ron et George une fois qu'ils auraient réglé la situation dans les gradins du terrain de Quidditch. Elle ne comptait pas laisser l'esprit frappeur s'en tirer comme ça... Le plan de Peeves était très clair dans la tête de la Préfète-en-Chef. Il avait très certainement voulu faire en sorte que les élèves ne puissent pas assister au match opposant Gryffondor à Serdaigle, une façon pour lui encore d'embêter les amis de son « petit pote Potter ».
La jeune femme fut soudainement sortie de ses pensées par la voix de Charlie. Elle avait presque oublié que ses appartements se trouvaient à cet étage, presque sur son chemin qui plus était. Le son de la voix du rouquin rappela à la sorcière qu'elle ne l'avait pas vu le matin-même dans la Grande Salle.
De ce qu'Hermione entendait, il avait l'air en grande discussion. Alors qu'elle se rapprochait des appartements du dragonnier, elle discerna que la personne qui l'accompagnait était une femme. Elle finit par apercevoir Charlie, de dos, dans la pénombre du renfoncement dans lequel ils s'étaient tous les deux cachés quelques jours auparavant pour s'embrasser, alors que la Préfète-en-Chef finissait sa ronde.
Même si elle ne comptait pas s'arrêter pour épier ce qu'il s'y passait – ce n'était pas son genre de faire ça –, la sorcière ne put s'empêcher de laisser ses yeux vagabonder vers Charlie et son interlocutrice. Et alors, elle se souvint de ce que ses parents lui disaient lorsqu'elle était enfant. « La curiosité est un vilain défaut, ma chérie » entendait encore Hermione de la bouche de Jean Granger, sa mère.
Et ce qu'elle vit lui fit instantanément regretter d'être à cet endroit précis. Au mauvais endroit, au mauvais moment, comme disait le dicton...
Depuis qu'elle avait entamé sa relation avec le dragonnier, jamais Hermione n'avait imaginé qu'il puisse jouer un double-jeu avec elle. Pourtant, elle venait clairement de voir Charlie enlacer la jeune femme blonde avec qui il discutait, avant de l'embrasser sur le front, de la même manière qu'il l'avait fait avec elle-même au Terrier pendant les vacances de Noël.
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Finalement, je préfère affronter Vous-Savez-Qui
عاطفيةAprès la guerre, Hermione a décidé de revenir à Poudlard effectuer sa septième année et passer ses ASPIC. Elle rêve d'être la meilleure élève de tout Poudlard en obtenant un Optimal dans chaque matière, et cette première année sans la menace du mage...