Chapitre 45

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Et là je la vois c'est elle....

Je cours vers cette boutique ou j'aperçois au loin la robe de mes rêves en vitrine

Dina : Je l'ai trouvée Lisa c'est elle, plus vite, regarde .

On fait connaissance de la vendeuse qui est également la creatrice de toutes ces merveilles. On découvre également qu'elle aussi est française, qu'elle rêvait du grand rêve américain et à atterrie ici, à New York, c' est le destin. On discute de notre chez nous, ça fait énormément plaisir de discuter avec une compatriote dans notre langue.

Julie : Elle est faite pour toi.

Lisa les larmes aux yeux.

Lisa : Tu es sublime. Tu as raison, c'est elle. Elle est parfaite.

Dina : Oui c'est elle.

Julie aime donner des noms à ses créations, la robe que j'ai choisie ou plutôt la robe qui m'a choisie se prénome Espéranza.

Une robe fourreau faite de manche longues. Elle dessine ma silhouette à la sensualité exacerbée.
Des broderies exclusives viennent sublimer le buste avant de se prolonger le long de mes bras, par jeu de transparence des arabesques exaltent la magie et le charme de cette création unique. Aussi audacieux que fascinant mon dos se voit serti de dentelle soulignant ensuite ma taille et mes hanches pour enfin finir sur le bas de la robe.

Je suis totalement sous le charme je ne pouvais rêver de robe aussi splendide que dis je d'une oeuvre d'art aussi splendide. Je suis ému par la beauté de celle ci. Du haut de mon modium Julie place quelques aiguilles ici et là pour ajuster cette merveille à ma taille. Nous convenons que je revienne le mardi qui suit pour les essayages de réajustement. Je file en cabine, retirer avec précaution Espéranza.

Sur le comptoir je prend quelques cartes de visite de Julie.

Dina : Je dois te faire de la pub, les gens doivent savoir qu'une pépite se cache ici.

Je remercie chaleureusement ma nouvelle amie.

Avec Lisa nous finissons nos emplettes tout se suis, je trouve très facilement pochette et chaussures . Il faut dire que cette robe est tellement belle que tout se mari avec elle, avec armonie . Avec Lisa nous sommes d'accord qu'il est inutiles de porter le moindre bijoux Espéranza se suffit à elle même.

Ma coiffeuse à eu le gentillesse d'accepter de passer chez moi pour la soirée, je sais déjà le type de coiffure que je veux. Pour le maquillage je m'en chargerais c'est une réelle passion pour moi. C'est une excuse, pour acheter les nouveautés, dans la plus grande parfumerie de la ville.

Après Les PleursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant