Après Les Pleurs

Chapitre 93

Dina : Je suis pas encore directrice mais je ferai mon possible, compte sur moi.

.....

Dina et Lisa : Allé montre nous.

Doris : Inutile je l'a prend.

Je me lève et je rejoint ma sœur, je déplace un peu le rideau juste histoire de pouvoir passer ma tête. Je regarde ma sœur, elle est juste sublime dans cette petite nuisette blanche toute en transparence.

Dina : Ouaw tu es magnifique. Tu as fais le bon choix.

Lisa : Moi aussi je veux voir.

Mon amie me pousse pour regarder à son tour. Elle se met à siffler.

Lisa : Canon !

Doris commence à grogner, énervée par cette intrusion.

Lisa : Oh ça va on est entre filles et avec un corp comme le tien tu n'as pas a avoir honte.

Doris : Bouger les curieuses que je me change après c'est ton tour bébé.

Lisa : Oui je vais chercher tous les petits ensembles que j'ai repéré pour toi .

Ça fait déjà bien 15 minutes que je suis dans cette maudite cabine d'essayage à enfiler tous se que me propose mon amie et ma sœur.

Dina : On a bientôt fini je meurs de faim.

Doris : Tu mangera pas tant qu'on aura pas trouvé.

Je sors ma tête de la cabine.

Dina : Ça sers à rien. Je n'ai rien de sexy et c'est pas un string qui changera.

Lisa : Tu rigole j'ai jamais vu une femme aussi sexe que toi, rien que ta façon de bouger ton petit orteils est trop hot.

Doris et moi nous ne pouvons pas nous retenir d'éclater de rire, à la dernière remarque de notre amie.

Dina : OK c'est bon je prend ça.

Doris : Ouai donne le fric.

Dina : Je rêve ou vous avez parié sur moi.

Doris : Ouai j'ai parié que tu choisirai se que je te propose.

Lisa : Il me reste l'autre pari pour me remplumer.

Dina : C'est quoi cet autre pari ?

Lisa : Que tu vas passer une nuit de folie.

Et elle se met à rire toute seule.

Dina : Vous avez une très mauvaise  influence l'une sur l'autre quand vous êtes réunies toutes les deux.

*****

Lisa : C'est au moins son 5ème appel depuis ce matin, tu compte lui répondre quand ?

Doris : Elle a raison de se faire désirer, ça a beau être mon meilleur pote je donne raison à ma sœur.

Nous avons choisi un fast food pour le déjeuner se n'est pas dans nos habitudes mais d'après Doris nous avons dépenser assez de calorie ce matin pour se faire plaisir.

Doris :... et surtout il reste la tenue de Dina à trouver cet aprèm.

Doris : D'ailleurs raiponse c'est pour qu'elle occasion ce petit ensemble ?

Je vois mon amie rougir, je connais pertinemment  la réponse c'est pour notre beau motard. Mais je suis censé ne pas le savoir alors je fais comme ci de rien été.

Lisa : Une femme a le droit de se sentir belle et n'a pas besoin d'un homme pour le lui dire.

Dina : T'as raison ma Lisa, bon on y va avant que je ne puisse plus bouger. Poussez moi que je roule jusqu'à la prochaine boutique j'ai trop mangé.

J'essaie en premier la robe que m'a choisi Lisa, pas vraiment convaincu.

Dina : Désolé ma chérie mais j'ai l'impression d'être nue.

J'essaie à présent la tenue que m'a choisie Doris, pas plus convaincue que la première.

Dina : Les filles vous foutez de moi ou quoi ?

Elles se marent toutes les deux comme des baleines. Elles rient tellement fort que toute la clientèle de la boutique se tourne vers nous. Je me rhabille. Et sors de la cabine d'essayage.

Doris : Oulà j'ai pas vu l'heure moi, j'ai répète avec le groupe. Bébé je repasse à l'appart me changer, Dereck viendra nous chercher. Lisa a ce soir.

Elle nous lance un clin d'œil en nous tirant la langue avant de partir.

Lisa : Je file aussi j'ai une amie à voir. A ce soir.

Une amie ouai c'est ça, ton "amie" n'aurai pas des grand yeux noisettes et un sourire à se damner par azard ? Je garde ma réflexion pour moi, mais je lui ferai cracher le morceau coûte que coûte.

Dina : Ça marche, tu me dépose avant de filer ?

Lisa : Ma poulette tu sais que je t'adore mais tu habite à 10 min à pied d'ici. Alors non. A ce soir je t'aime.

Elle s'empresse de décarpire en m'envoyant un bisou.

C'est la première fois que je me retrouve seule depuis l'enlèvement. Je presse le pas pour arriver au plus vite chez moi. J'ai passé tout le trajet à longer les murs, en passant mon temps a regarder au dessus de mon épaule.