Dina jeune femme de 22 ans découvre le monde du travail mais surtout l'amour...
Après une vie dorée, et la mort subite de sa sœur, Dina décide de tous quitter son pays la France, ses amis... et de refaire sa vie pour cela elle traverse l'Atlantique...
Au moment où la porte se referme sur eux. Je m'écroule sur mon canapé je me met à rire, et pleurer à la fois. J'ai l'impression d'être devenue hystérique. Mes amis m'entourent.
Matt : Ça va princesse ?
La tristesse prend le pas sur tout. Je fond en larme.
Dina : J'ai perdue le seul homme de ma vie.
Lisa : Mais non ma belle, maintenant tu pourras avancer dans la vie sans boulet au pied, c'était nécessaire. Je suis fière de toi.
Dina : Je parle de Colin, j'ai perdu le seul homme que j'ai jamais aimé.
Adam : Il t'aime aussi, j'en suis persuadé vous allez vous retrouvez laisse lui le temps de se calmer.
Matt : Allons manger ce gâteau, rien de mieux que du sucre et de la graisse pour remonter le moral.
*****
Voilà déjà trois jours que je n'ai pas eu de nouvelles de Colin. J'ai su par Adam qu'ils avaient été engagés pour faire une tournée de un mois et demi dans tous le pays, commençant à news York pour le premier de l'an et se terminant pour la Saint Valentin au point de départ. J'ai appris également que Colin passait tout son temps à préparer la tourné au club avant le départ. J'ai donc décidé d'allé le voir ce soir après le travail, pour espérer recoller les morceaux. Je ne suis à présent que l'ombre de moi même.
J'ai mis toutes les chances de mon côté pour mon beau ténébreux, j'ai demander à Matt de faire le guet pour que personnes nous interromp lors de notre entrevu et surtout j'ai mis le paquet sur ma tenue.
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Je m'avance dans le couloir sombre qui mène aux coulisses lorsque je reste tapis dans l'ombre pour écouter jouer au piano mon beau brun, il s'agit sûrement d'un nouveau morceau, car je ne l'avait encore jamais entendu. Cette chanson est superbe, il y a une telle intensité de tristesse que je ne peux retenir une larme. L'a t-il écrite pour moi ?
A la fin de son morceau, je m'avance davantage, pour enfin le voir. Il est magnifique assis derrière son piano je je ne distingue que le haut de son corp, avec pour seules lumière les veilleuse des panneaux exit de la pièce se refléter sur ces cheveux lisses et brillants. Quand il entend mes talons résonner dans la pièce il relève la tête vers moi. Il m'a tellement manqué, ces trois jours m'ont paru être une éternité, j'ai eu l'impression d'être en apnée, et d'avoir enfin retrouvé mon souffle à la simple vision de ses yeux azurs.
Dina : Salut.
Colin : Lut.
Dina : Ça va ?
Colin : Ouai.
(OK à ce rythme là on y sera encore demain, secoue toi Dina) . Je m'approche de lui en douceur, au passage je laisse ma main caresser le piano pour m'adosser au côté de celui-ci.
Dina : J'ai appris pour la tournée, c'est cool félicitations.
Colin : Merci.
Dina : Tu vas me manquer.
Lui murmurai-je, il ne me répond pas, et détourne ses yeux vers les touches de son piano. Je pose ma main sur la sienne et il là retire aussitôt comme ci je l' avais brûlé. A cet instant je sens mon cœur se briser. Une sensation désagréable s'immisce en moi.
Dina : Je voulais m'excuser de mettre emporter le soir du réveillon... Je... je ne pensais pas se que je t'ai dit.
(Par pitié Colin répond moi, dit moi que se n'est rien, que tout est oublié, que tu comprends que je me sois emporter à cause de se fumier. J'ai fais le premier pas, fais le prochain. Je ne te supplierai pas, dis moi quelque chose. )
Colin : Merci.
Dina : Quoi ???... Merci ??? Je viens devant toi, dans une jupe ou j'arrive à peine à respirer, je ravale ma fierté pour te présenter mes escuses et toi tous se que tu trouve à dire c'est MERCI. Mais tu te fou de moi.
J'attrape mon sac que j'avais déposé sur le piano, et pars comme une furie.
Dina : Je pensais que je comptais un minimum pour toi. Comment tu peux mettre une croix sur notre histoire, après seulement une dispute.
Colin : Qu'elle histoire, on a même pas baisé.
Dina : Putain comment j'ai pu tomber amoureuse d'un pauvre mec comme toi ? Tu n'es qu'un connard... Un enfoiré de première...