Chapitre 90

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... la dentelle rouge de ma culotte et mes escarpins ...

Son regard me transperce, me scrutant sous toutes les coutures. Avec un sourire coquin.

Je défait les boutons de sa chemise un à un en déposant un baisers à chaque parcelle de sa peau que j'entrevois. Des frisons apparaissent aux passages de mes lèvres sur sa peau pourtant si chaude. Je le déleste à présent de sa chemise et de sa veste en même temps. Mes doigts s'attardent sur son torse. Ma bouche retrouve le chemin de son amie avide des caresses de sa langue.

Il semblerait que Colin décide de reprendre les choses en main. Il me soulève délicatement me porte jusqu'au lit comme une mariée me déposant tout en douceur sur le lit. Mon corp chaud frissonne sous le contact des pétales de rose douces et fraîches.

Colin tonifie son emprise sur moi, sa bouche me dévore. Sa langue câline la mienne ardente, brûlante et incendiaires.

Il cesse un instant, me scrute avidement...

Colin : Si tu savais à quel point tu me rend fou... A quel point j'ai envi de toi...

Ces quelques mots finissent de m'embraser. Je l'attire par la nuque. Je me jette sur ses lèvres avec frénésie. Mon impatience guide le moindre de mes gestes. Mes mains veulent être partout en même temps.
Je laisse mes mains parcourir son corp et descend très lentement vers son bas ventre.
Colin se crispe, avant d'expirer sourdement. Il fini de retirer la totalité de ses vêtements. Me laissant tout le loisir d'admirer son corp d'appolon.

Sans me lâcher, Colin embrasse mon cou, mes épaules et la naissance de mes seins dénudés. Chacun de ses baisers me procurent des fourmillements d'intenses plaisirs. Je ressens une tension dans le bas ventre, prête à exploser.

Il se saisi d'un préservatif dans sa poche de pantalon atterri au bas du lit.
Il se glisse entre mes jambes. Je laisse échapper un gémissement de plaisir lorsqu'il fini par empoigner mes hanches pour me faire onduler contre lui. Ses baisers, ses gestes, ses mouvements, ses vas et vient sont tendre, doux. Il me serre tout contre lui. Comme pour me protéger. C'est tout ce que j'espérais, qu'il me montre qu'il tient à moi, le sentir tout contre moi...

Nous nous séparons allaitant et transpirant. Comblé au summum. Chacun allongé sur le dos, mon bel amant rompt le silence...

Colin : J'ai rêvé ce moment des milliers de fois et...

Dina : Et...

Colin : C'était encore mieux que tout se que j'aurai pu imaginé ou connaître.

Je me tourne face à lui place mon bras sous ma tête et lui répond avec un grand sourire flattée par ses derniers mots. Et décide de le taquiner un peu, en plaisentant.

Dina : Normal... je suis là femme de ta vie...

Je me dirige à présent à la salle de bain, nue sous le regard de cet homme que j'aime tant. Prendre une douche rapide, j'aurais pu me sentir mal à l'aise de ma tenue d'eve mais sous ses yeux, je me sens belle, irrésistible et forte.

De retour dans la chambre simplement vêtu de se fabuleux peignoir si confortable, Colin se précipite vers moi m'embrasse et me fait tournoyer.

Colin : J'ai fais appel au room service, attend moi je prend une douche rapide.

Je confirme par un hochement de tête.
Il s'adresse à moi en me pointant du doigt.

Colin : Ne regarde pas !

Je lève la main droite et prend un air solennel.

Dina : Promi.

J'espère qu'il ne va pas trop tarder, il s'est combien je suis curieuse pourquoi me torturer ainsi. Je décide d'allumer la télévision, je Zapp plusieurs minutes jusqu'à tomber sur un vieux film des années 70, le Parain.

Je sursaute surprise par l'arrivée de Colin qui a peine sorti de la salle de bain, saute sur le lit. (Ah oui effectivement il a pas menti, il a fait vite, même très vite.) Je jette un œil vers lui, il est irrésistible dans le peignoir de l'hôtel. Ses longs cheveux noirs, paraissent encore plus brillant grâce au blanc immaculé du peignoir. Il abaise un morceau du tissu éponge qui recouvre mon épaule, pour y déposer un baiser.

Colin : Bravo, tu as résisté à l'envie de regarder!

Dina : Qui te dit que je n'ai pas regardé ?

Colin : Tu es beaucoup trop gourmande si tu aurai regardé tu aurai tout dévoré .

Il se met à rire de sa dernière.
Je fais mine d'être faussement offusquée. En plaçant une main sur mon cœur.
Il rit de plus belle.

Il m'apporte le plat sous cloche et dévoile un assortiment de miniardises et petits fours de toute sorte.

Colin : Je sais que tu es us salé que sucré.

Je suis attendrie par son geste et l'attention qu'il me porte. Confortablement installée dans les bras de mon chérie a grignoter ses délices devant ce vieux film que morphée m'emporte le cœur léger, débordant d'amour et de sérénité.

Après Les PleursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant