Dina jeune femme de 22 ans découvre le monde du travail mais surtout l'amour...
Après une vie dorée, et la mort subite de sa sœur, Dina décide de tous quitter son pays la France, ses amis... et de refaire sa vie pour cela elle traverse l'Atlantique...
Cette répartie fait frémir mon cher et tendre, je passe ma main sur sa cuisse et essaie de capter son regard pour le calmer, pour éviter qu'il regrette un éventuel geste de violence à l'égard de mon père.
Père : Peterson comme le grand pétrolier ?
Adam : C'est bien ça.
Père : Tel que je connais ma fille elle a du s'amouracher du bad boy trafiquant ou pire encore du gothique dépressif.
Il se met à rire jaune de sa propre boutade.
Père : Il n'est pas trop tard pour toi, pour que je n'ai plus honte, tu devrais épouser ce jeune homme.
Colin se met à grogner, il sert ses poings tellement fort que la jointure de ceux ci prennent une couleur blanchâtre.
Colin : Oui Dina tu devrai épouser Adam, il serai parfait pour toi, issu d'une bonne famille et surtout un riche héritier.
Adam me jette un coup d'œil pour me signifier qu'il ne comprend pas cette situation, il doit se demander où il est tomber, lui qui a voulu fuire son propre repas de sa famille, il se retrouve entre deux feu à un autre repas devenu familial. Lorsque je vois Colin se lever, prendre sa veste et se diriger vers la sortie. Je le ratrappe, le saissi par le poignet avant qu'il ne franchisse le pas de la porte.
Dina : Ou pars tu ?
Il me fais lâcher prise d'un coup sec.
Colin : Il semblerait que je sois de trop.
Dina : Ou est le soutien que tu avais promis de m'apporter pour cette soirée.
Colin : Je ne veux plus assister à cette mascarade.
Une immense colère m'envahit, j'ai l'impression que je vais exposer comme une cocotte minute. Je ne peux retenir tout mon fiel. Je me met à hurler sur Colin.
Dina : ET BIEN VAS Y CASSE TOI, SI C'EST CE QUE TU VEUX. TU CROIS, QUE J'AI BESOIN DE TOI... DE TOUTE FAÇON, VOUS ÊTES TOUS PAREILS ...
Colin : Que veux tu dire par pareil.
Dina : Que des que le moment se présentera vous accourez pour plus jeunes et plus dociles. Et que vous n'êtes pas fiables ni dignes de confiance.
Mes mots dépassent ma pensée c'est mon père qui me met dans cette état, ces mots lui sont dédier et comme une idiote c'est à Colin que je m'en prends.
Colin : Puisque c'est se que tu penses nous n'avons plus rien à faire ensemble. Passe de bonnes fêtes.
Sur ces mots, il franchie le pas de ma porte, je le vois descendre à toute allure les marches. J'ai envie de lui courir après, de le ratrapper mais une force invisible m'en empêche. Je retiens mes larmes, la pression ne redescend toujours pas, je ne comprend pas encore l'empleur de mes paroles. Je retourne auprès de mes convives qui ont assistés à toutes la scène. Je leur dis sèchement.
Dina : Passons au dessert.
Chacun de mes amis se regardent sans savoir quoi dire ni même comment réagir. Quand Adam rompt le silence.
Adam : Je m'en occupe assied toi.
Lisa : Euh je vais l'aider.
Matt : Moi aussi.
Ils se précipitent tout trois dans la cuisine, un silence de mort règne dans la salle à manger, je pourrais étripper la prochaine personne qui oserez me dire quelques chose de travers. Quand mes trois amis reviennent de la cuisine avec mon gâteau d'anniversaire en chantant.
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Je n'ai qu'une envie, que cette soirée atroce se termine, aller me coucher et à mon réveil demain matin me rendre compte que tout ça n'était qu'un cauchemar.
Kelly : OH c'est votre anniversaire.
Voilà la phrase de trop,... je m'adresse à cet homme qui a toujours était mon boureau psychologique.
Dina : Qu'es tu venu faire ici?
Mais c'est sa compagne qui me répond.
Kelly : Mon doudou, m'a invitée pour passer les fêtes ici, pour nos cinq ans.
Dina : Cinq ans ?
Cinq ans à cette période je vivais encore en France, j'étais en dernière année de lycée et surtout mes parents n'étaient pas encore séparés.
Kelly : D'ailleurs si vous pourriez ranger avant de quitter les lieux, le temps de notre séjour je vous en serai reconnaissante.
Je me met à rire comme une folle, sûrement la tension de cette soirée qui a eu effet sur mes nerfs.
Dina : Si j'ai bien compris, je dois quitter MON appartement, pour que VOUS passiez un séjour romantique, chez Moi.
J'insiste bien sur les pronoms possessifs de ma phrase, pour lui faire comprendre l'absurdité de ces propos je me met à rire de plus belle. Je m'adresse de nouveau à mon géniteur.
Dina : Te souvenais tu que c'etais mon anniversaire aujourd'hui ? Me l'as tu souhaité au moins une fois dans ma vie ? Tu as volé la vie de ma mère, de mes sœurs... Et maintenant de cette pauvre femme en abusant de sa naïveté et de son manque d'intelligence ? Aime tu une autre personne que toi ? Tu peux t'énerver, t'emporter, me menacer, me rabaisser à présent tu n'as plus aucunes emprises sur moi, sais tu pourquoi ? Car aujourd'hui je suis une femme libre, forte, indépendante, et surtout plus intelligente et supérieur à toi sur bien des domaines.
Je m'adresse à présent à Kelly.
Dina : Kelly, cette appartement m'appartient, à moi seulement je l'ai payé seule sans l'aide de quiconque, tout comme mes études. Mon père n'a jamais rien fais pour nous mis à part nous détruire. Et la seule raison pour laquelle il est la, c'est que le juge a donné raison à ma mère et qu'il a tout perdu lors du divorce, sans compter la pension alimentaire qu'il doit reversé à ma mère.
Dina : J'ai raison, n'es ce pas papa ?
Je reçois une gifle monumentale venant de mon père, comme seule réponse. Toute en me tenant la joue, je lui lance un sourire sadique.
Dina : Ça t'as fais du bien ?... À présent tu sais où se trouve la sortie.
Matt s'empresse d'ouvrir la porte d'entrée et fait une révérence pour montrer la sortie aux deux convives, quand à Lisa elle aide cette chère Kelly à prendre ses affaires et à suivre "SON doudou". Avant que celui ci me hurle dessus.