Chapitre 15

810 54 2
                                    


PDV de Colin

Elle m'énerve cette Cassidy, me faire venir au service D. R. H pour me faire du rentre dedans sous un prétexte bidon. Si son mari se doutait. En même temps lui aussi a plutôt les mains baladeuses. J'ai pu m'en rendre compte lors du déjeuner avec Matt que nous avez organisé Dina. Ah ah quand j'y repense. Quand on parle du loup, les portes de l'ascenseur s'ouvre sur une Dina irrésistible.

Elle pénétre dans la cabine les yeux rivés sur son téléphone. Il s'avère qu'elle ne met pas vu. Elle se place devant moi, dos à moi.
L'ascenseur est bomdé je la tire vers moi pour que le livreur ne la heurte pas avec son chariot, trop absorbée par son écran pour s'en rendre compte.

Nous sommes à présent à quelques centimètres l'un de l'autre, il semblerait qu'elle n'ai toujours pas remarqué ma présence. Je peux sentir les effluves de son parfum féminin et sensuel, de l'odeur de son shampooing probablement à la vanille ou peut être bien la noix de coco. Elle sent divinement bon. Ces cheveux sont relevés en un chignon fais à la va vite, tenu par un stylo, se qui me donne toute l'occasion d'observer sa délicate nuque, dont je n'ai qu'une envie, l'embrasser.

Je ne peux m'empêcher de caresser ses bras dénudés. Sa peau est d'une douceur incommensurable. Du bout de mes doigts je commence par caresser l'extrémité de sa main et remonte doucement, sensuelement le long de son bras. Je vois des frisons apparaîtres.

Elle ne cherche pas à me stopper ni même à se retourner pour voir qui est derrière elle. Autre niveau, des personnes entrent comme d'autres sortent. J'en profite pour la tirer d'avantage vers moi à chaques ouvertures de portes. Malgré la cabine pleine je passe un bras autour de sa taille pour la tenir encore plus proche de mon torse. Je ne peux m'empêcher d'embrasser sa nuque et redescendre sur ses épaules, de baisers doux et sensuel.

Je la sens tressaillir sous mes baisers et mes caresses. Elle pose sa douce main sur la mienne pour la retirer de son ventre.

Je me rends compte que nous sommes déjà au 42ème. Je sens comme un immense vide s'immiscer en moi, depuis qu'elle à quitté cet espace clos.

Je sens mon téléphone vibrer dans ma poche arrière droite de mon jean. Un message de Dina :

* Sympa ce petit moment 😉 *

Je ne peux m'empêcher de sourire à son message, depuis le début elle savait que c'était moi.

Après Les PleursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant