Après Les Pleurs

Chapitre 81

Quand je suis réveillé par les clé dans la porte. Un autre homme fait son apparition mais... je le reconnais.

Dina : Vous ?... Mais que faites vous ici ?... Relâchez moi immédiatement.

??? : Oh tout doux poulette. On vas commencer par le début je me présente Hunter Talker. Je dois admettre que je vais de bonnes surprises à bonnes surprise avec toi.

Dina : Qu'est ce que vous voulais dire par là ?

Hunter : Figure toi cher Dina que tu as été un sacré grin de sable à plusieurs reprises. Pour commencer tu as fais chapoter mes plans avec cette belle blonde que j'avais réussi à droguer j'aurai pu gagner des milliers de dollars avec ce petit lot...

Quoi, quoi ? Il parle de cette fameuse soirée au bar quand les garçons sont intervenu pour le foutre dehors et que avec Matt on pensé qu'il avait donné du L.S.D à Lisa.

Dina : Comment ça des milliers de dollars ?

Hunter : Calme toi petite je vais d'expliquer. Pour faire simple je suis dans les affaires.

Dina : Vous voulais dire le trafique d'être humain.

Oh mon dieu ! Que serait-il arrivé à ma pauvre Lisa si nous ne serions pas intervenue ? Je ne peux retenir une larme de colère et de dégoût face à cet  individu.

Hunter : Laisse moi finir poupée.

Il braque son arme en ma direction pour me faire taire, je recule aussitôt au fond de la pièce.

Hunter : Donc comme je te l'expliquais, après m'avoir fait perdre une belle pouliche, tu t'en prends à mon biznes de drogue avec ma plus fidèle cliente, Doris. Je t'avais dans mon collimateur mais tu étais jamais seule, toujours accompagnée d'un mec baraqué et dans des lieux bourré de monde...

Il prend une pause attrape une chaise dans le couloir et s'assoit face à moi toujours arme en main et fini son récit.

Hunter : Et voilà qu'un jour un petit frenchi me propose 20 000 dollars pour me débarrasser de toi, une aubaine n'est ce pas.

Quoi un français ? Mais je ne connais aucuns français dans le pays ? Je n'y comprend plus rien.

Dina : Vous vous êtes trompé de cible, je ne fréquente pas de français, vous pouvez encore me relâcher, je ne parlerai pas.

Hunter : Non ya pas d'erreur, il s'appelle Maxime Dubois.

Quoi non c'est impossible, je sais que se n'est pas un homme bien mais pas à ce point, il n'oserait jamais me faire ça.

Hunter : Et oui ma belle ton cher papounet en personne veut ta peau, on se renseigne avant d'accepter un quelconque accord. Et cerise sur le gâteau, j'ai découvert ce matin que notre poule aux œufs d'or était vierge et en parfaite santé. Tu sais jusqu'à combien ça peut monter un spécimens comme toi ?  Française, canon, instruit tu vas faire décoller les enchères. Je suis sur qu'un riche chinois ou quatarien nous fera une offre alléchante .

Dina : Je refuse laissez moi partir bande de pourriture.

Je me suis levé et je lui ai craché au visage, j'ai essayé de le frapper, à présent je n'ai plus rien à perdre. Mais c'est sans compter sur les deux hommes de se matin qui me retiennent et me balance sur le matelas. Ce fameux Hunter souri en s'essuyant le visage avec le revers de sa main.

Hunter : Doucement les gars l'abîmer pas... En plus avec du caractère.

Il se retourne face à un point rouge à l'angle de la pièce que je n'avais pas remarqué jusqu'à présent un sourire de fierté au visage.

Hunter : Vous avez vu messieurs ?

Je comprend très vite que nous sommes observés par d'éventuelles acheteurs. J'ai perdu tout espoir de me tirer de cette histoire. Il s'approche de moi à présent je sens sa rage dans son regard et la vois sur son visage. Il attrape mon visage d'une main et resserre sa prise et me parle à vois base.

Hunter : C'est la dernière fois que tu me manques de respect petite pute. Tu le sais peut être pas mais les filles sont classé par trois catégories. Les trotoires, les pondeuses, et les enchères. Et encore un coup comme ça et tu deviendra une trotoire, en passant d'abord par moi. C'est bien clair.

Je n'ai pas d'autre solution que d'acquiescer pour qu'il lâche enfin prise. J'éclate d'emblée de pleurs. Il se dirige vers la sortie suivi de ces deux acolytes. J'observe la pièce et me rend compte qu'il n'y a plus le voyant rouge, je suppose que je ne suis plus filmée.

J'ai l'impression d'avoir pleurer une éternité quand j'entends des coups de feux retentir. Je me relève illico, je dois quitter ce lieu avant de me prendre une balle. Je commence de plus en plus à paniquer quand je me rend compte que les bruits s'approchaient de moi. J'entends des sons de fracas sur la porte comme ci quelqu'un essayait de la défoncer. Je me  retrouve impuissante, je n'ai pas d'endroit ou me réfugié ni même une arme pour me défendre, je m'apprête à recevoir mes nouveaux insurgents. Si je dois mourir aujourd'hui ça ne sera pas sans me battre jusqu'à mon dernier souffle. Je me remémore toutes les prises que j'ai appris au cour de self défense. Et me met en positon d'attaque .

La porte cède enfin.

??? : FBI.