Chapitre 41

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... espérant que demain je me réveillerai en pensant que cette soirée n'était qu'un mauvais rêve.

*****

Le lendemain, je n'ai toujours pas décolèré du coup foireu de Colin d'hier soir. Mais comment a t'il pu me faire un effront pareil. Je n'ai qu'à m'en prendre que à moi même, comment ai-je pu penser rien qu'une seconde avoir une relation avec lui. J'ai souffert toute mon enfance d'un père volage, vu ma mère souffrir de chagrin tant de fois, que jamais je ne tolérais le même type d'homme dans ma vie.
Au diable Colin Spencer.

Je me prépare rapidement je prend la première tenue venue une combinaison.

J'aimerais arriver en avance pour peaufiner le dossier sur lequel je suis pour le rendre ce soir avant le week end

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J'aimerais arriver en avance pour peaufiner le dossier sur lequel je suis pour le rendre ce soir avant le week end.
07h30 j'aperçois devant Carter Corp une silhouette bien connue, dont je pourrais bien me passer. Je fais mine d'avancer dans l'immeuble sans le voir, quand une main me saisie le poignée. Ce contact m'electrice. Je sais très bien de qui il s'agit, alors je lui lance un regard noir pour lui faire comprendre de lâcher prise.

Colin : Dina, je t'attendais il faut que l'on parle.

Il n'a toujours pas lâché mon poignée, nos regards s'accrochent et ne se lâchent pas. Je ne peux m'empêcher de l'admirer, il est tellement beau. Ne craque pas Dina, ne craque pas. Je vois dans son regard un soupson de tristesse qui me touche. J'essaie d'être forte, je romps le contact visuel en regardant sa main pour qu'il me lâche.

Dina : Si jamais tu veux me parler... Mord ta langue. Enrevoir.

Il me lâche instantanément sans un mot. Je pénétre le hall sans lui accorder la moindre considération.
Je me dépêche de prendre l'ascenseur quand je sens une présence dans mon dos. Je sens mon cœur battre à cent mille à l'heure. Comme par hasard nous sommes seuls.

Colin : Tu me dois une faveur.

Dina : Je ne te dois absolument rien.

Colin : Je pensais que tu étais une personne fiable apparemment j'ai fais erreur.

Dina : Laisse moi rire, ne me parle pas de fiabilité. Que veux tu ?

Colin : Que tu m'accorde une soirée.

Dina : Comme celle de hier soir ?

Je le vois détourner son regard de moi, baisser la tête. Serait-il gêné ?

Colin : Accompagne moi au gala de Carter Corp la semaine prochaine.

Dina : Pourquoi ne pas demander à l'une de tes amies de hier soir, ou bien même aux deux.

Colin : J'ai besoin d'une femme élégante avec de la classe innée . J'ai le droit de te demander se que je veux, tout se que je veux.

Dina : Inutile de me flatter. Tu aurais dû me le dire plus tôt. Envois moi les infos par mail.

Après Les PleursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant