Chapitre 65

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... est-ce qu'il s'est passé quelque chose entre toi et ma sœur ?

Il saisi mon visage entre ses deux grandes mains, m'obligeant à le regarder droit dans les yeux. Je le sens sincère.

Colin : Chaton malgré toutes les femmes que j'ai pu connaître, il ne s'est rien passé avec Doris. Je l'ai toujours vu comme ma sœur. J'ai été présent pour elle, tout comme elle a été présente pour moi. Je ne voulai pas brisé l'amitié fraternelle qu'on avait créé. Et maintenant que tu es entré dans ma vie je suis tout aussi heureux qu'il ne se soit rien passé.

J'ai envi de le croire, maintenant que ce point est éclairci, je m'inquiète pour ma sœur, je sais très bien que l'inquiétude que j'ai eu concernant Colin et Doris était simplement une façon de jouer l'autruche concernant le vrai problème de ma sœur. Colin dépose un baiser doux sur mes lèvres, et me chuchote en me serrant fort dans ses bras.

Colin : Je sais que tu t'en fais pour ta sœur, mais ne t'inquiète pas on trouvera une solution. Je te lâcherai pas.

Dina : Je la séquestrerai si il le faut pour qu'elle lâche cette merde.

Colin se met à RIRE, en nous basculant en arrière.

Colin : J'ai déjà vu ton fort pouvoir de persuasion chaton, je sais que tu lâchera pas l'affaire. Si toi tu as réussi à me faire changer d'avis sur l'amour je sais que tu peux tout faire. Rien que ton parcours montre que tu es une batante.

Je vois toute l'admiration qu'il a pour moi dans ses yeux ça me donne l'impression d'être invisible et de pouvoir tout surmonter grâce à son soutien. Je lui dit doucement en fuyant son regard, car je ne veux pas l'admettre mais sans lui a mes côtés je n'aurai pas su géré Doris tout à l'heure.

Dina : Merci Colin d'avoir pris les choses en main...

Il m'interromp en plaçant son index sur mes lèvres.

Colin : Shut tu n'as pas a me remercier, c'est mon rôle d'homme fort de prendre soin de vous.

Il me montre ses biceps en prenant une voix grave. Nous nous mettons à rire, je n'aurai jamais pensé que Colin était se genre d'homme, il est tout le contraire de se qu'il renvoi au premier abord. Plus j'apprend à le connaître et plus je l'apprécie. Je l'apprécie énormément même. Oh non je suis tombée amoureuse d'un rockeur. J'aime Colin Spencer. Il me sort de mes pensées en m'embrassant  le bout de mon nez.

Colin : Je vais pas te lâcher d'une semelle du week end. Je vais prendre une douche profite en pour rester un peu seule avec ta sœur.

*****
Dina : Comment tu te sens ?

Elle n'ose pas me regarder et me marmone un ça va.

Dina : Je t'ai pris quelques vêtements propres si tu veux te changer. On devrait faire la même taille.

Je lui tend de quoi se changer et elle se met à éclater de rire. Et à me parler en français. J'ai l'impression d'avoir retrouvé la vrai Daphné l'espace de quelques secondes.

Doris : Maintenant c'est le monde à l'envers il est bien loin le temps ou j'allais râler auprès de maman parceque Dariella et toi piquaient mes fringues.

Je me met à blemir. Elle ne sait pas pour Dariella. Elles étaient toutes les deux très proches, moi je l'ai suivées partout où elles allaient, et passé mon temps à les imiter. Daphné avait d'avantage un rôle de seconde maman pour moi mais avec Dariella s'était différent, elle étaient inséparables.

Dina : Écoute, j'ai quelques chose à te dire, mais se n'est pas facile.... Je sais pas comment....

Doris : Allé balance tu commence à me faire flipper.




Après Les PleursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant