Chapitre 97

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Je me réfugie dans sa chambre et m'enferme à double tour.

Réalisant que je suis toujours nue, je me dirige vers sa penderie pour attraper, un de ses t-shirt.

Je m'efforce de réfléchir intelligemment. Je ne peux appeler ni Doris, ni Lisa, et forcément ni Matt. Si se que m'a dit ce Owen est vrai, il est préférable que je dérange pas non plus Adam. Quand j'entends trois petits coups frapper à la porte de la chambre.

Dina : Rassure toi, je t'empreinte ta chambre pour la nuit et demain au petit matin, tu n'entendra plus parler de moi.

Colin : Chaton, ne réagi pas comme ça. Laisse moi t'expliquer.

Dina : Expliquer quoi ? Que avant tu baisais tout se qui bouge et que maintenant tu refuse à ta copine se que tu as accordé à tant d'autres.

Colin : Ne sois pas vulgaire. Et justement il est la le problème, j'ai couché avec tellement de filles que maintenant j'ai l'impression de te salir, de ne pas te mériter.

Un long silence se fait entendre, je suis collé à la porte pour entendre la suite.

Colin : Si je m'écoutais je te ferai l'amour chaque seconde, chaque minute, chaque heure... Je n'ai jamais été aussi bien avec quelqu'un que avec toi. J'ai peur que le sex détruise se qu'on a. Ma plus grande crainte et que tu me prenne pour un obsédé.

J'ouvre la porte, et retrouve un Colin avec les yeux humide.

Dina : Si tu n'es obsédé que par moi, je peux accepter que tu en soit un.

Je vois un fin sourire apparaître sur ses lèvres.

Dina : Entre toi et moi se n'est pas du sex,... c'est un témoignage de notre amour. Alors oublie toutes ces bêtises qui te hantent et aime moi.

Il me sert dans ses bras, et retire d'un coup le t-shirt que j'ai mis à peine quelques minutes auparavant.

Il m'embrasse comme jamais il ne l'avait fait au paravant. Il me soulève comme un rien et me conduit jusqu'au lit.

Colin : Je suis obsédé par ta bouche...

Il descent ses lèvre plus bas, sans cesser ses baisers.

Colin :... Je suis obsédé par ton cou, ton odeur...

... encore plus bas....

Colin : Je suis obsédé par ta peau, tes seins...

*****

Après cette nuit de folles passion, je me réveil au petit matin affamée. Je m'extrais du lit sans réveiller mon bel étalon qui dort paisiblement. J'attrape le t-shirt qui jonche sur le sol, et repense à la façon dont Colin me l'a retiré, des milliers de frissons de passion, se propage en moi.
Je me faufile sans un bruit hors de la chambre.

Je fonce dans la cuisine à la recherche de victuailles. Je ne trouve pas grand chose alors je décide de me lancer dans la préparation d'un cake. Pendant qu'il cuit je cours à la douche. Je savoure la chaleur de l'eau qui tombe en fine pluie, sur ma peau. Lorsque je sens des mains m'empoigner les hanches et une bouche m'embrasser le creu de mon cou.

Dina : Bonjour monsieur Spencer, vous êtes bien matinal pour un dimanche matin.

Colin : J'ai été réveillé par une alléchante odeur provenant de la cuisine, mais j'ai trouvé encore plus alléchant dans la salle d'eau.

Il commence des douces caresses tout le long de mon corp, il continue ses baiser le long de mon cou jusqu'à mon épaule, il presse son corp tout contre le mien pour me montrer l'effet que je lui fait. Ce qui fait monter en flèche le désir que j'ai pour lui. Il me fait me retourner face à lui et me bloque contre la paroi glacée de la douche qui contraste avec la chaleur de l'eau et surtout la chaleur de nos corps.
Il me dévore à présent chaque morceaux de peau à sa portée. Il attrape ma cuisse pour la passer autour de sa taille. Et commence dès mouvements de bassin d'abord lent puis plus intense, à me faire exploser un plaisir acéré.

Colin et moi sommes à table pour savourer un petit déjeuner bien mérité, j'étais réellement affamée et vu comment mon homme mange, j'en déduit que lui aussi.

Colin : Tu sais c'est la première fois que l'on cuisine rien que pour moi, sans compter Adam... M'enfin je veux dire qu'une femme fasse ça pour moi.

Il est adorable, on dirai un petit enfant intimidé suite à cette révélation, je décide de le charrier.

Dina : Comment dire que je n'ai rien trouvé dans tes placards et que si je préparai rien, j'aurai fais un malaise, et puis vu qu'on est chez toi, je suis un peu obligé de partager.

Colin : Au sujet de chez moi, je pense qu'il est temps que tu laisses ta brosse à dent dans le verre sur le lavabo plutôt que de te balader avec dans ton sac à main...ca serai pas mal aussi que tu laisse deux trois vêtements chez moi... au cas où...

Surprise par ses derniers mots, je lui crache au visage la dernière gorgée de thé que je venais à peine d'avaler. Je me précipite près du levier pour attraper un torchon et essuyer le visage de mon beau rockeur , qui bizarrement se met à rire de ma maladresse. Il m'attrape par la taille et me regarde droit dans les yeux avec un merveilleux sourire.

Dina : Hum tu veux que j'apporte mes propres affaires parceque tu veux pas que je t'emprunte tes vêtements ?

Je lui montre son t-shirt sur mon dos.

Dina : Très bien puisque c'est ça...

Je retire langoureusement le bout de tissu et lui jette au visage. Je quitte la cuisine en me déhanchant, lui jetant un coup d'œil au dessus de mon épaule, pour voir si il me comprend...

Après Les PleursOù les histoires vivent. Découvrez maintenant