Dina jeune femme de 22 ans découvre le monde du travail mais surtout l'amour...
Après une vie dorée, et la mort subite de sa sœur, Dina décide de tous quitter son pays la France, ses amis... et de refaire sa vie pour cela elle traverse l'Atlantique...
Je m'assois dépitée sur les marchés derrière moi qui mènent au étages supérieurs. C'est fichu, j'ai tout raté. Une larme s'échappe et commence à couler sur ma joue. C'est le après coup du stress qui s'évacue. Quand....
Colin : Désolé chaton j'étais sous la douche.
Je suis face à un Colin à couper le souffle, torse nu avec juste un bas de survêtement, cheveux humide serviette autour du cou.
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Waw on en parle de se corp de fou ? Je ne réfléchis plus, je ne veux plus réfléchir, je me redresse, me lève d'un bon et lui saute au cou. (Oui oui littéralement je lui saute dessus.) Je plaque mes lèvres contre les siennes. Mon cœur s'emballe pourtant je me sens extrêmement bien, comme libérée d'un poid. J'ai le sentiment d'être à ma place. Colin place ces bras autour de mes hanches et resserre son étreinte, je me presse contre lui, pour être au plus près, ne faire qu'un. J'agripe sa nuque, pour l'attirer plus près de moi encore. Je sens ses lèvres s'étirer en un sourire malicieux. L'instant d'après il force la barrière de mes dents, pour que nos deux langues se retrouvent dans un baiser fougueux, intense. Il me porte comme une princesse, me conduit à l'intérieur de son appartement, referme la porte à l'aide de son pied. Il me pose délicatement sur son sofa et se place au dessus de moi. Il lâche mes lèvres.
Colin : Tu étais venu me dire quelque chose châton ?
Il affiche un grand sourire vainqueur sur son visage. Je suis déjà en manque de ses lèvres, de son contact. J'ai besoin de le goûter encore un peu plus.
Dina : Shuut, embrasse moi.
Je l'attrape par la nuque et le replace sur mes lèvres. Je ne peux retenir un gémissement de plaisir. Ses mains parcourent mon corp à travers ma robe. Les miennes frôlent, carresent, jouent sur son torse nu. Je sens des frissons apparaître au passage de mes doigts. Son grain de peau est d'une douceur incommensurable. Au bout de plusieurs longues minutes, c'est tout deux à bout de souffle que nous arrêtons notre baiser. Il me fait pleins de doux baisers d'abord sur mes lèvres puis la commisure de mes lèvres, descend par ma mâchoire inférieur, pour déposer une pluie dans mon cou. Ses baisers sont tendres, doux. Je me laisse aller dans ses bras, c'est tellement agréable. Je Jette ma tête en arrière pour lui laisser libre champs. Je ferme mes yeux pour apprécier encore plus ce moment, ses caresses.
Il me murmure avec sa voix suave.
Colin : Reste avec moi cette nuit....
La je me tend, me redresse légèrement en prenant appuis sur mes coudes. Je ne suis pas prête à franchir le pas. Il ressent mon malaise.
Colin : On ne fera rien promis, j'ai juste besoin de sentir ta présence, de te sentir près de moi, de te serrer contre moi. Accepte s'il te plaît...
Dina : Je meurs d'envie d'accepter mais je n'ai pas de vêtements de rechange. Et je me vois mal demain arpenter les rues de N.Y avec ma robe de soirée pour rentrer chez moi, encore moins en baskets.
Je lève légèrement ma robe en riant pour lui montrer.
Colin : D'ailleurs en parlant de robe, je n' ai pas eu l'occasion de te dire à quel point tu étais belle avec.
Dina : Merci toi aussi tu étais pas mal.
Colin : Pas mal, tu plaisantes ? À tomber tu veux dire. J'ai vu comment tu me dévorer du regard .
Dina : Dans tes rêves, je regardais le buffet derrière ton dos.
Colin : Ah oui et sur le trajet de l'aller, tu regardais aussi le buffet?
Dina : OH grillée, OK j'avoue tu étais plus que pas mal.
Nous nous mettons à rire, nous sommes heureux, bien ensemble comme une évidence. Il reprend l'exploration de mon cou avec ses baisers. Et me souffle.
