Un bébé pour Noël | Romance terminée

#Tome 2 | #Amour 48

Des paroles qui correspondent si bien à l'amour que partage 💖💖 Jina & Léo 💖💖

« Passeranno primavere / Les printemps passeront

Giorni freddi e stupidi da ricordare / Des jours froids et stupides à se rappeler

Maledette notti perse a non dormire / Maudites nuits passées à ne pas dormir

Altre a far l'amore / D'autres à faire l'amour

Amore, sei il mio amore /  Amour, tu es mon amour

Per sempre, per me / Pour toujours, à moi. 

Dimmi perché quando penso, penso solo a te / Dis-moi pourquoi quand je pense, je ne pense qu'à toi
Dimmi perché quando amo, amo solo te / Dis-moi pourquoi quand j'aime, je n'aime que toi 
Dimmi perché quando vivo, vivo solo in te grande amore / Dis-moi pourquoi quand je vis, je ne vis qu'en toi grand amour

Dimmi che mai/ Dis-moi quoi que ce soit 

Che non mi lascerai mai / Que tu ne me quitteras jamais. » 

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Raisonnable, mais pas trop sage !

Vendredi 04-01-19

Best Western Plus Prairie Inn, 1 100 Price Rd SE, Albany, OR 97 322, États-Unis

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15 h 30 | Avoir son corps chaud et nu dans mes bras m'apaise. Il me conforte dans mes sentiments et me démontre à quel point Jina est importante pour moi alors qu'en un claquement de doigts j'aurais pu la perdre. Elle est cette partie de moi, dont je sais que je ne pourrai plus me séparer. Elle me tempère, m'apaise. Mais Jina peut tout autant m'électrifier et me rendre insatiable de ces courbes, de son odeur, de ses magnifiques yeux...

Jina me sourit et efface les dernières peurs que j'ai face à ce qu'elle a enduré.

Bien sûr, tout n'est pas réglé. Elle fera encore des cauchemars, sans doute, elle gardera quelque temps ce sentiment de craintes. Mais, plus du tout envers moi. Plus après ce moment charnel, que nous venons de partager. Cette chambre d'hôtel est ce dont nous avions besoin pour laisser derrière nous toute cette peine.

Un lieu inconnu et neutre.

Elle est alanguie, belle, comblée, dans ces draps, qui viennent de partager nos ébats, et sa manière de me regarder est si sensuelle que j'entraîne son corps nu à se retrouver à califourchon sur le mien.

Je viens de lui mordiller la ligne du menton lui arrachant un gémissement qui n'a rien à voir avec une plainte. Sinon celle de sa frustration, qu'elle exprime face à mon arrêt pour lui demander :

— Il y a longtemps que tu ne m'as pas baisé ma « girlfire » ! lui suggéré-je à l'oreille.

— C'est si sexuellement bien suggéré... Sergent, Wayne...

Jina ne se fait pas prier, n'attend même pas ma réplique. Elle agrippe mes plaques pour que je me soulève un peu. En appui sur mes bras repliés, je la laisse dévorer mon torse, qu'elle embrasse goulûment, en le léchant et mordant même mes tétons érigés par tant de plaisir, c'en est divin.