EMPIRE

E·84

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On ce demande parfois si notre amour,est trop grand, où pas assez pour cet personnes que nous chérissons le plus. Je ne me suis jamais posé la question, pour moi le simple fait d'aimer taehyung était déjà assez,je n'ai jamais vraiment penser à la qualité de mon amour, pour moi j'étais simplement fou d'amour pour lui. Je me rappel encore de notre première rencontre, où ses yeux bicolore était tombé sur moi,je Me suis sentie si inférieur face à lui que j'ai détourné le regard. J'en rougie encore aujourd'hui quand j'y pense.

Mon enfance n'a jamais été des belles, j'ai toujours voulu avoir à mes côté quelqu'un qui m'aimerais,au point de me couvrir de cadeau et d'attention, taehyung était la première personne à me couvrir de cadeau sans raison, malgré nos différent,il ma montré une attention particulière et j'ai aimé ça,je n'étais pas simplement celui qui avait porté son premier garçon, mais son époux et il n'a jamais montré que j'étais moins que ça. Alors lorsque que vois ce que j'ai dû vivre,et à quelle point mon amour pour lui est immense,je me dis que ça en valait la peine,je n'echangerais jamais ma place, pour avoir une vie entouré de parents avec une enfant parfait,si pour vivres encore une amour comme ça à ses côtés,je devais passer par tout ça alors je le ferais encore. Je vivrai une enfance misérable pour retomber amoureux de lui une seconde fois. Et je remercie yungjae de m'avoir abandonner dans un orphelinat, si il m'avait tué alors ma vie se serait arrêté là.

- À quoi tu penses ? Demanda taehyung,je ne l'avais même pas entendu entrée.

Je sourit simplement en tendant ma main vers,je le vois froncé les sourcils d'incompréhension,et j'insiste en lui faisant signe du regard qu'il devait la prendre,il me sourit avant d'exécuter mon ordre.

- Alors tu vas me dire à quoi tu penses aussi sérieusement...

- Je pensais simplement à nous, à mon amour pour toi. Dis-je en fermant les yeux sentant sa main sur mon visage.

- Ton amour pour moi, n'est pas aussi grand que mon amour pour toi,tu ne peux même pas le comparé,je t'aime tellement,tu est mon Monde,et sans toi elle s'effondre, t'on amour est ma force,tu me donne une nouvelle chance de vivre,tu ma donner de beau enfants et ma aimé malgré cet homme froid que j'étais. Me dit-il tout gardant les yeux baissés.

C'était la première fois que je voyais le visage si sérieux de mon mari, ce tordre de tristesse, j'avais l'impression d'avoir quelqu'un d'autre devant moi, non c'était moi qui l'avait rendus ainsi,son amour pour moi, lui avait donné un semblant d'humanité dans son regard. Que j'aimais ses beaux yeux posé sur ma personne, j'avais l'impression d'être le seul à ses yeux, Oui en ce moment j'étais sont monde et j'étais heureux de constater cela. Pour répondre à sa si belle déclaration,je pose ma main sur sa nuque pour rapprocher nos visages et je fondi sur ses lèvres, pour un baissé passionné.

- Je t'aime comme un fou, monsieur Kim taehyung.

......

J'étais heureux de pouvoir enfin sortir de l'hôpital,je procès de yungjae était pour bien,ce qui voulait dire qu'il allait enfin nous laisser vivre en paix, j'espère que la prison lui changera et lui permettra de voir la vie d'un autre regard. J'avais eue finalement une discussion avec mon père qui c'était excuser, pour son absence le jour de mon réveil,il m'avait parlé à cœur ou,il s'était senti si honteux d'avoir fermée les yeux sur le comportement de son neveu,son amour pour lui était si grand qu'il ne pouvait pas croire qu'il était capable de faire autant de mal autour de lui,et je le comprenait bien, aimé quelqu'un nous poussait à ne pas accepter ce que cet personnes étaient capables de faire aux autres. À cause d'un malentendu ma vie tout entière à changé, mais je ne regrette pas d'être tomber sur taehyung, et d'avoir porté son enfant, j'étais heureux maintenant et c'est ce qui compte pour moi. Durant toute le trajet j'étais restée si concentrer dans mes pensées que je n'avais pas vu la voiture Franchir le portail du manoir,et de loin je pouvais apercevoir tout les domestiques qui était sorti pour m'accueillir. Ma maison m'avait manqué, J'avais l'impression d'avoir fait une éternité sans y avoir mis les pieds.