Partie 28

1.8K 160 9
                                    

Partie 28 : Soulagement.

Plusieurs heures après ont étaient toujours à la piscine à se raconter nos vies et là on entend la sonnerie d'une voiture ..

On se regarde toutes les trois et ont commencent à avoir peur.

Binta : Mdr, calmez vous c'est la sonnerie à Maman.

Moi : Putain j'ai eu grave chaud.

Sadjo ouvre le portail et c'était bien Tantie Michou, ouf soulagement. Elle se gare dans le garage (logique🤷🏾‍♀️) elle m'avait pas encore vue.

Ont l'attendaient devant la porte.

Tantie Michou : Coucou les filles.

Elle passe sans me calculer j'ai trouvé ça bizarre et la direct elle se retourne vers moi.

Tantie Michou : LEILA ?!

Moi : Oui Tantie ..

Tantie Michou : Mais pourquoi vous êtes partie comme ça ?

Binta : Bon venez on va s'assoir.

On rentre au salon.

Tantie Michou : Racontez moi tout.

Moi : Bah en faite.. (j'lui raconte tout tout tout ce qui s'est passé parti 15 à celle là pour ce qui s'en rappel plus)

Tantie Michou : C'est vraiment horrible et inhumain. Désolé pour ta tante mais c'est une sorcière et t'es parents c'est vraiment du n'importe quoi, je les reconnaît plus, quand on dit que le monde changent la eh les personnes aussi deh.

Nous : Vraiment.

Binta : Maman quand vous êtes plus là faut que personnes ouvre la porte parce que c'est risqué faut pas qu'elle se fasses attraper une deuxième fois.

Tantie Michou : Tu as raison, vous savez quoi ? Vous allez vivre ici le temps que tout ce calme puis on verras ce qu'on va faire ok ?

Sali et moi : D'accord merci Tantie.

Tantie Michou : De rien mes filles c'est normal.

On parle du ventre de Salimata un peu, il est grave gros elle ressemble à une baleine échouée.

On part toutes les trois dans la chambre de Binta sous la bonne clim on se raconte nos amourettes mdr.

Binta : Eh moi en ce moment y'a un gar qui me gère la eh l'enfant est beau on dirait un cadeau du ciel, ses lèvre pulpeuse, ses yeux bridés façon chinois, sa belle peau ébène, ses narines comme tunnel et enfin ses belle dents blanche comme la neige et vous.

Enlovée la nana.

Moi : Bah moi rien c'est plat comme le mur, en France y'en avait un il s'appelait Djibril .. Bon j'en parle pas sinon je vais bêtement pleurer.

Salimata : On s'en fou dit.

Moi : Roh, bon ce gar je l'es rencontré au collège et on s'est vite bien entendu. C'était comme une évidence on se complétait trop trop trop, bref on s'est vite rapprocher j'était fort attaché à lui mais on était pas ensemble on a préfèrer que sa se fasse naturellement et au moment ou mes sentiments commençait à naître, on m'a annoncé que je viens à Conakry, il me manques..

Mes larmes se remplissent et elles me câlinent.

Binta : Et toi Sali ?

Leila, de Paris à Conakry.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant