Partie 62

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Saut salut, je suis sincèrement désolé d'avoir abandonné la chronique et vous même pendant deux mois. J'ai eu un énorme problème, j'ai plus de téléphone et je ne m'en rappelais plus de mon mdp bref bref l'histoire est réglée je serais plus présente désormais, bonne lectures mes coco.❤️

Partie 62 :

J'me méfiais donc j'ai demandé à Elhadj de quand même venir avec moi. On sort en se dirigeant vers l'endroit indiqué et je toque.

.. : OUI !

J'ouvre et je vois Hasan et Hasta (mes cousins pour ceux qui s'en rapellent plus) j'fais les gros yeux.

Moi : Waw j'étais pas prête de vous voir.

Hasta : Sa se voit.

Les deux avaient l'air tendus, ils étaient perdu on dirait, ils regardaient un peu partout, de droite à gauche et j'ai trouver ça bizarre.

Moi : Elhadj vient.

Hasan : Non, on veut que toi.

J'l'es regarde bizarrement et j'me retournes vers Elhadj en lui fesant comprendre de pas rester bien loin.

Donc je ferme la porte.

Moi : Vous voulez me dire quoi ?

Hasan : On vient te chercher pour te ramener à la maison.

Moi : Mdr c'est une blague j'espère ?

Hasta : Non Leila, l'ultimatum de mes parents sa devient invivable tout s'acharne sur nous. (partie 57 pour ceux que s'en rappellent pas)

Moi : Avec tout ce que j'ai vécu chez vous, tout le malheur, la tristesse.. et vous voulez me ramener re vivre tout ça ? J'vous pensais vraiment pas comme eux, mais vous êtes pareil et une famille de psychopathe.

J'commence à trembler.

Hasan : On te comprend mais c'est soit on trouve une solution soit on a pas le choix.

Moi : Vous me dégoutez. Allez-y ramener moi chez vous comme ça vous en finissez avec ma vie pendant que vous y êtes.

Personne me répond, ni Hasan ni Hasta. S'installe donc un blanc de 5min.

Hasan : Bon, j'ai trouver une solution qui marchera peut-être pas mais qui ne tente rien à rien.

Moi. : Accouche.

Hasan : Quand on rentrera on diras à nos parents que t'es retourner en France tout simplement.

Moi : Si ils demandent comment vous avez su ?

Hasta : T'inquiètes on se débrouillera on a vraiment pas envie que tu re subisse c'que t'a subis à la maison.

Moi : Hm merci.

J'l'eur fait un câlin et on n'y va.

J'ouvre la porte et j'vois Elhadj qui écoutais j'explose de rire.

Moi : Mdrrrr t'es con toi. Bon allez les jumeaux vous m'appelez quand y'a du nouveau.

Les jumeaux : Pas de soucis, bye.

Elhadj me regarde bizarrement.

Moi : Qu'est-ce que ta?

Elhadj : J'ai tout entendu.

Moi : Laisse tomber tu comprendras jamais.

Elhadj : Si Leila, t'es pas la pour les vacances comme t'a dis, t'es pas là pas hasard.

Moi : On en parle plus tard, j'suis pas prête pour l'instant.

Elhadj : D'accord comme tu veux.

Il me fais un bisou sur la joue et on rejoins les autres dans la chambre.

Oumy : Vous en aviez mis du temps.

Elhadj : Mdr sa veut dire quoi ça idiote.

Bref 1h après l'infirmière arrive et dis comme quoi je pouvais sortir mais faut que je me repose et pas trop être sous le soleil.

Infirmière : Bon courage ma belle.

Moi : Merci, au revoir.

On prend la voiture direction chez Binta sans Oumy parce que elle devait rentrer prendre quelques affaires. A peine arrivé avec les filles on se dirigent vers la chambre pour papoter.

Binta : Alors raconte ils t'ont dit quoi ?

J'l'eur expliquent de A à Z sans oublier une virgule.

Salimata : Putain j'espère qu'ils vont y croirent.

Moi : Ouais parce que je veux pas revivre ce cauchemar.

Binta : T'inquiètes baby on sera là rien ne va t'arriver.

Moi : Hm .. en plus Elhadj a entendu la conversation et il veut que je lui en parle.

Binta : Si tu penses que c'est une personne qui devrait être au courant de ce qui se passe et bah dis lui.

Moi : D'accord je vais y réfléchir.

Bref on continue à papoter comme d'habitude et là sa toque à la porte.

Moi : ENTREZ !

.. : Hey les filles.

Leila, de Paris à Conakry.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant